Cette rencontre a été ouverte par le Représentant permanent de l’OIF à Genève, conjointement avec l’Ambassadeur Représentant permanent de la Suisse auprès des Nations unies, le Directeur général de l’Union postale universelle et le Directeur général de l’Organisation internationale des migrations.
Animés par plusieurs experts de la Conférence des Nations unies sur le Commerce et le Développement, du Bureau international du travail, de l’Organisation internationale des migrations, de la Banque Mondiale et d’autres institutions spécialisées, les travaux ont plus particulièrement porté sur le rôle que les transferts d’argent des migrants pourraient jouer dans le développement socio-économique des pays du Sud.
Cette thématique étant inscrite à l’agenda du G8 et du G20, mais aussi à l'agenda post 2015 des Nations unies dans le cadre de la définition des Objectifs de développement durable, le colloque a permis de sensibiliser les décideurs aux enjeux économiques de cette question.
Les flux financiers des migrants vers leurs pays d’origine ont représenté plus de 400 milliards de dollars en 2012. Abaisser la commission prise par les opérateurs effectuant les transferts permettrait d’injecter plusieurs milliards de dollars supplémentaires dans les économies du sud et pourrait permettre de répondre en partie à la baisse structurelle de l’aide au développement.
|{{Voir aussi}}|
|[{{Actions de l'OIF pour renforcer la Francophonie économique}}->rub294]|
