La Francophonie compte 405 millions de jeunes. Ils représentent parfois plus de 70% de la population dans certains pays. "{Cette jeunesse est dynamique, créative, innovante, elle a besoin de formation, d’accompagnement et d’encouragement pour réussir}", a rappelé la Secrétaire générale de la Francophonie dans son [{{discours}}->art49472] – le premier depuis sa prise de fonction. Louise Mushikiwabo a ensuite souligné qu'elle comptait faire de ce sujet une priorité, conformément à la feuille de route confiée par les Chefs d’État et de gouvernement francophones lors du Sommet d’Erevan, en octobre dernier.
Une des réponses à ce défi : l’[Institut de la Francophonie pour l’Education et la Formation (IFEF)->https://www.francophonie.org/IMG/pdf/_ifef_presentation_courte.pdf], un nouvel outil créé en 2016 qui vise à appuyer plus efficacement les Etats et gouvernements francophones pour la réforme de leurs systèmes éducatifs, l’enseignement et l’apprentissage du et en français, la formation des enseignants, l’intégration des langues nationales et de l’enseignement plurilingue dans les politiques éducatives, la formation professionnelle et l’insertion des jeunes à l'emploi.
La journée du 24 janvier devait permettre de rendre tangible auprès des Etats membres de l’OIF et de ses partenaires la contribution de la Francophonie à l’Agenda du développement durable pour la réalisation de l’objectif de l’éducation. Elle a également été mise à profit pour annoncer la tenue, prochainement, d'une conférence sur l’éducation des filles au sein de l’espace francophone.
|{{VOIR AUSSI :}}|
|[{{Fiche thématique : Actions de l'OIF en faveur de l'éducation}}->doc67113]|
