Cette rencontre a réuni à la Maison franco-japonaise une quarantaine de participants, dont 17 ambassadeurs, sous la présidence de Jean-François Paroz, Ambassadeur de Suisse, et en présence du Président d’honneur, Ahmed Araïta Ali, Ambassadeur de Djibouti, et des Vice-Présidents Gunther Sleeuwagen, Ambassadeur de Belgique, Mohammed Rachad Bouhlal, Ambassadeur du Maroc et Laurent Pic, Ambassadeur de France.
Un bilan assez satisfaisant du mois de la Francophonie 2018 au Japon a d’abord été dressé (23 ambassades mobilisées dans l’organisation d’une cinquantaine événements en mars dernier). Les participants ont ensuite été informés par l’Ambassadeur d’Arménie, Grant Pogosyan, de l’état des préparatifs du XVIIe Sommet de la Francophonie (en octobre prochain à Erevan).
Enfin, les prochains Jeux olympiques et paralympiques d’été (Tokyo 2020) ont été largement abordés. Le Directeur et Représentant régional de l’OIF pour l’Asie-Pacifique, Eric-Normand Thibeault, a rappelé le [rôle du Grand témoin de la Francophonie->https://www.francophonie.org/jeux-olympiques-34566], nommé à chaque olympiade pour veiller au rayonnement de la langue française.
Les membres du Conseil pour la promotion de la francophonie au Japon ont discuté des dispositions à prendre pour appuyer les démarches du prochain Grand témoin, en lien avec le Gouvernement métropolitain de Tokyo et les autorités japonaises. Profitant de la présence de Naoyuki Watanabe, responsable de la Francophonie au Cabinet du Premier ministre nippon, ils l’ont invité à relayer auprès de ses collègues l’importance d'appliquer le cahier des charges en matière de langues officielles au moment de la publication des appels d’offres pour la signalétique, dans l’esprit de la Charte olympique, dont la règle 23 stipule que les langues officielles du Comité international olympique sont le français et l’anglais.