L’OIF a soutenu l’atelier d’aides à la finition « Takmil » qui a pour objectif de permettre à des cinéastes africains et arabes de soumettre leurs films, en phase de post-production, à l'expertise d'un jury international. Le prix de l’OIF a été décerné au jeune réalisateur rwandais Joël Karekezi pour « La miséricorde de la jungle ».
La Francophonie était également présente à travers 8 films du palmarès qu’elle a soutenus via son Fonds Image :
-* « Volubilis » du Marocain Faouzi Bensaidi - 3e prix de la compétition officielle (Tanit de bronze)
-* « Vent du Nord » du Tunisien Walid Mattar - « Prix Tahar Chériaa » du meilleur premier long métrage, prix du meilleur scénario et prix TV5MONDE
-* « Aya » de la Tunisienne Moufida Fedhila - Tanit d’or du meilleur court-métrage de fiction
-* « Le Koro du Bakoro » du Burkinabè Simplice Ganou Herman et « Kemtiyu-Cheikh Anta » du Sénégalais Oussmane William Mbaye – respectivement Tanit d’or et Tanit d’argent du meilleur long-métrage documentaire
-* « La belle et la meute » de la Tunisienne Kaouther Ben Hania - Prix de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) du meilleur scénario d’un film tunisien de fiction
-* « Félicité » du Sénégalais Alain Gomis - prix de la meilleure musique et prix d’interprétation féminine pour son actrice principale Véro Tchanda Beya.
-* « Force majeure » de l’Égyptien Mohamed Siam - Prix spécial du Centre national du cinéma et de l’image (CNCI) « Ali Ben Abdallah ».
|{{Voir aussi:}}|
|[{{Site internet des JCC}}->https://www.jcctunisie.org/]|