Présidé par la Secrétaire générale de la Francophonie, ce conseil a réuni l’Administrateur de l’OIF et les représentants de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF), de l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF), de TV5Monde, de l’Université Senghor d’Alexandrie et de l’Association internationale des Maires francophones (AIMF).
À l’ordre du jour notamment, les grands événements francophones à venir : Jeux de la Francophonie (Côte d’Ivoire, juillet 2017), 33e Conférence ministérielle de la Francophonie (Togo, novembre 2017), 17e Sommet de la Francophonie (Arménie, novembre 2018) ; ainsi que les axes de coopération entre l’OIF, l’APF et les opérateurs de la Francophonie.
À ce sujet, Michaëlle Jean a affirmé souhaiter «{ aller plus loin dans la co-construction des différentes programmations} », rappelant que le dispositif institutionnel francophone, de par sa structuration regroupant une organisation intergouvernementale, des parlements, des universités, des villes, un média international, des organisations non gouvernementales et de la société civile, devait «{ être un pionnier de cette nouvelle culture collaborative dont le monde a un impérieux besoin} ».
L’Administrateur de l’OIF a confirmé cette volonté de «{ favoriser les complémentarités et les synergies } » entre les différentes institutions présentes, en précisant que le processus d’élaboration de la programmation 2019-2022 de l’OIF leur serait « {largement ouvert} ». Adama Ouane a également fait un point d’étape sur l’ambitieux projet commun d’enseignement massif et de qualité du et en français dans les pays francophones, porté par l’Institut de la Francophonie pour l’Education et la Formation.
