Après deux ans d’interruption suite aux événements qu’a connus le Mali, les Rencontres de Bamako sont de retour : une plateforme unique de visibilité pour les photographes et vidéastes du continent et de la diaspora.
La programmation artistique, confiée à la nigérianne Bisi Silva, directrice du Centre pour l’art contemporain de Lagos, s’articule autour du thème « conter le temps ». Elle invite les artistes à interroger la notion de temps afin de proposer de nouvelles manières de penser le passé, débattre du présent, et imaginer le futur.
Partenaire des Rencontres de Bamako depuis leur création, l’OIF contribue financièrement à la prise en charge des frais liés aux transports, hébergement et droits d’auteurs des artistes francophones.
|L’OIF a également remis à l’occasion de cette 10e édition le prix du « Jeune photographe francophone », sous la forme d’une dotation de 3000 euros. C’est l’artiste malien Aboubacar Traoré qui a été désigné pour [sa série baptisée « Inch’Allah »->http://www.rencontres-bamako.com/spip.php?article145] qui traite de l’extrémisme religieux et de la guerre qui a éclaté dans le nord du pays en 2012.|
Ce partenariat s’inscrit dans le cadre des actions de l’OIF pour la circulation des artistes francophones du Sud et de leurs œuvres dans les festivals et marchés internationaux, ainsi que pour la dynamisation et la structuration des filières artistiques des pays du Sud.
|{{VOIR AUSSI :}}|
|[{{Site de la Biennale}}->http://www.rencontres-bamako.com]|