Chapeau

« {L’Atlas de l’empreinte écologique et de la biocapacité des pays francophones} », fruit d’une collaboration entre l’OIF et le Global Footprint Network, avec l’appui d’autres partenaires, dont la France, la Fédération Wallonie-Bruxelles et l’UICN, a été présenté lors d’un événement parallèle à la 12e Conférence des Parties (CdP12) à la Convention des Nations unies sur la diversité biologique, à Pyeongchang (Corée du Sud), le 14 octobre 2014.


|À télécharger : [L’Atlas de l’empreinte écologique et de la biocapacité des pays francophones->art45349] [->art45349]| Cet atlas vise à améliorer et à approfondir la compréhension de l'empreinte écologique et des tendances de la biocapacité dans les pays membres de l’OIF. Il complète ainsi l'analyse faite dans l'« [Atlas de la biodiversité de la Francophonie->http://www.francophonie.org/Atlas-de-la-Biodiversite-de-la.html] », publié en 2010. Il établit les liens entre les implications de ces tendances pour la performance économique et le développement humain, et aide les décideurs à prendre en compte la réalité des limites écologiques dans l’élaboration et la planification des politiques de développement durable. Environ 70 personnes, représentant des gouvernements, des organisations internationales et des ONG ont participé à l'événement, présidé par Soulèye Ndiaye, Directeur des parcs nationaux du Sénégal. L’OIF était représentée par Anissa Barrak, Directrice du Bureau régional pour l’Asie et le Pacifique. Rajae Chafil, Spécialiste de programme à l’Institut de la Francophonie pour le développement durable (IFDD), organe subsidiaire de l’OIF et Sebastian Winkler, Vice-Président du Global Footprint Network, ont présenté respectivement les activités de l’OIF/IFDD dans le domaine du développement durable et l’Atlas. Cet événement a été aussi marqué par la présence et une intervention de Xavier Sticker, Ambassadeur de France délégué à l'environnement Au cours de la période d’échanges qui a suivi la présentation, de nombreux participants ont salué le travail accompli par la Francophonie en préparation et pendant la CdP12, exprimé leur satisfaction de la qualité des documents produits par l’OIF/IFDD et ont renouvelé leur souhait que la langue française soit davantage utilisée dans les travaux des conférences des Nations unies sur l’environnement et le développement durable. Plusieurs membres de délégations nationales francophones ont souhaité obtenir des précisions sur la méthodologie utilisée pour évaluer l’empreinte écologique et la biocapacité d’un pays et ont exprimé leur intérêt pour des actions de renforcement de capacités qui pourraient aider les pays en développement francophones à s’approprier ces méthodologies afin de pouvoir actualiser les données figurant dans l’atlas et disposer de manière pérenne, pour leur pays, d’un tel outil d’aide à la décision. Voir aussi : - [Les activités de la Francophonie à la CdP12->http://www.ifdd.francophonie.org/programmes/operation.php?id=326]