« {La cour pénale internationale constitue une avancée historique dans la longue marche vers un État de droit de la société internationale. La lutte contre l’impunité est un impératif pour tous ceux qui croient dans l’universalité de ces valeurs fondamentales que sont la démocratie et les droits de l’Homme} », a déclaré Abdou Diouf dans son [{{discours}}->art44681]. « {Nous devons nous battre pour lever les obstacles afin de résoudre, par le dialogue et non par l’affrontement, les points de tension qui s’expriment, pour procéder aux aménagements toujours nécessaires à l’épreuve des faits, avec pour seules limites l’universalité et la force des principes} » a-t-il ajouté.
Alors qu’il était Président de la République du Sénégal, Abdou Diouf s’était résolument engagé en faveur de l’adoption du statut de Rome et avait fait de son pays le premier au monde à le ratifier. Il a, depuis son arrivée à la tête de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) en 2003, renforcé les liens entre la CPI et l’OIF. Les deux institutions sont liées, depuis septembre 2012, par un Accord de coopération
La Francophonie et la CPI coopèrent en faveur de la promotion du droit pénal international et des droits de l’homme, ainsi que pour le renforcement de la lutte contre l’impunité et le respect de la diversité des cultures juridiques au sein de la Cour.
Aujourd’hui, alors que 54 États membres ou observateurs de la Francophonie sont parties au Statut de Rome, l’OIF encourage la ratification du Statut par ses États membres pour consolider le dispositif pénal permanent de lutte contre l’impunité des crimes de guerre et de génocide.
|{{VOIR AUSSI :}}|
|[{{Site de la CPI}}->http://www.icc-cpi.int/FR_Menus/ICC/Pages/default.aspx]|
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