Chapeau
Abdou Diouf a rencontré le jeudi 9 juin 2011, à Paris, Monsieur Francis Gurry, Directeur général de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI), pour approfondir la coopération existante entre les deux Institutions en matière de promotion et de valorisation de la propriété intellectuelle, basée sur un [Accord-cadre->doc56884] signé en juillet 2000.
Chapeau
Abdou Diouf a rencontré le jeudi 9 juin 2011, à Paris, Monsieur Francis Gurry, Directeur général de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI), pour approfondir la coopération existante entre les deux Institutions en matière de promotion et de valorisation de la propriété intellectuelle, basée sur un [Accord-cadre->doc56884] signé en juillet 2000.
Publié le : 10/07/2011
Le Secrétaire général a félicité le Directeur général de l’OMPI pour la dynamique engagée sous son impulsion, notamment par une prise en compte opérationnelle de la propriété intellectuelle comme outil de développement. Il a ensuite réitéré l’attachement de l’OIF au partenariat avec l’OMPI, qui vise des objectifs communs au bénéfice des pays francophones les moins développés.
De gauche à droite : Abdou Diouf, Clément Duhaime (Administrateur de l'OIF), Mohamed Saleck Ould Mohamed Lemine (Consultant), Marc Sery Kore (OMPI) et Francis Gurry
_ (Cyril Bailleul/OIF)
L’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI) se sont engagées à mettre en place une Commission mixte conformément aux termes de l’Accord cadre qui lie les deux institutions afin d’examiner les modalités de renforcement de cette coopération autour de 3 axes principaux :
_ - Politiques et industries culturelles ;
_ - Renforcement des capacités ;
_ - Promotion de la propriété intellectuelle (en tant qu’outil de développement)
La protection et la promotion des œuvres de l’esprit, dans toute leur diversité, constituent l’un des engagements forts et constants de l’OIF, notamment à travers sa mobilisation en faveur de l’adoption et de la ratification de la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles de l’UNESCO, mais également des activités telles que la création du premier Marché des Arts et du Spectacle Africain, du fonds de garantie pour les industries culturelles, ou les programmes de renforcement de capacités des Institutions judiciaires et des praticiens du droit en matière de droits d’auteurs et droits voisins, de sensibilisation au droit de la propriété intellectuelle.