Ces 20 jeunes dont 4 femmes constituent la première promotion de l’incubateur Libres Ensemble installé au sein du Bureau régional de l’OIF pour l’Afrique de l’Ouest, et dont l’objectif est d’offrir aux porteurs de projets citoyens, communautaires, sociaux et solidaires, un espace de travail et un programme d’accompagnement pour la maturation de leurs idées de projet, sa structuration, la mobilisation des ressources financières et le renforcement de leurs capacités techniques pour leur mise en œuvre.

Dans le cadre du mandat qui lui a été confié par le Secrétaire général des Nations unies, Mme Mohammed a, entre autres, la charge de mener une réforme du système des Nations unies pour le développement afin de mieux favoriser la réalisation des objectifs de l’Agenda 2030. Une initiative ambitieuse pour laquelle elle a choisi d’associer tous les Etats membres, dont ceux de l’OIF.

« {Il s’agissait alors de la plus grande conférence internationale jamais organisée par le Vietnam. C’était aussi une grande première en Asie-Pacifique. Unique, puisque depuis, aucun autre Sommet de la Francophonie n’y a été tenu} », a rappelé Ha Kim Ngoc, vice-ministre des Affaires étrangères du Vietnam lors de la cérémonie d’ouverture, en présence de Moncef Follain, Conseiller de la Secrétaire générale de la Francophonie, Eric-Normand Thibeault, directeur du bureau régional de l’OIF pour l’Asie et le Pacifique (BRAP) et des ambassadeurs francophones accrédités au Vietnam.

Tout d’abord, le 7 novembre, Yamen Manai s’est rendu à la Librairie Kyralina, dans la capitale roumaine, pour participer à l’émission de radio « Le son des mots » de Radio Romania International. En présence de plusieurs membres du Groupe des Ambassades et Institutions francophones de Roumanie (GADIF) et d’invités, l’écrivain tunisien a relaté son parcours, le rôle de la langue française et les opportunités qu’elle lui offre pour l’écriture, ainsi que son roman « L’amas ardent », avec lequel il a remporté le Prix des Cinq continents de la Francophonie en 2017. Le lendemain, M.

La 3e édition de ce concours d’écriture journalistique a attiré l’attention de nombreux étudiants, venus d’universités francophones des quatre coins du pays, ainsi que de jeunes francophones résidant en Thaïlande : le Comité d’organisation a ainsi reçu près d’une centaine de candidatures.

Une vingtaine de Délégations de pays francophones, auxquelles s’est joint le Secrétariat de la CNUDCI, ont échangé de manière informelle sur les travaux de cette session de Vienne. Cette rencontre était la deuxième du genre, après celle tenue à l’occasion de la précédente session du Groupe de travail III de la CNUDCI, à New-York, en avril 2018. L’OIF et les Délégations ont confirmé leur volonté partagée de poursuive ces concertations informelles.

Cette table-ronde* se proposait d’aborder la problématique des langues créoles du point de vue des représentations et des fonctions « hautes » qu’elles sont en mesure de remplir pour répondre aux défis du monde contemporain (internet, sciences, traduction...) et d’essayer ainsi d’apporter un éclairage nouveau sur la question des créoles en tant que langues de la modernité. Prenant la parole à l’ouverture de cette manifestation, la Secrétaire générale de la Francophonie a rappelé « son rapport intime et passionné» au créole haïtien et insisté sur l’histoire de cette langue : depuis sa naissanc

Les débats ont notamment porté sur l’éducation physique et sportive en tant que facteur favorisant l’intégration, la cohésion sociale et la santé publique, et sur la ville, échelon local nécessaire à son développement, nécessitant des infrastructures et des aménagements. L’Assemblée générale a ensuite élu son Bureau pour les deux prochaines années et adopté la nouvelle Programmation stratégique de l’AIMF, alors que l’association est dans une phase importante de croissance, attirant de nouveaux partenaires. Représentant la Secrétaire générale de la Francophonie à l’ouverture de ce

Financé par l'OIF et soutenu par la mission de coopération de défense française au Cambodge, ce stage a été l’occasion pour quatre experts de l'Ecole de maintien de la Paix de Bamako (EMP) de partager leurs connaissances et savoir-faire dans le domaine des opérations de la paix.