Selon les termes de cet important accord, le Secrétaire général parlementaire de l’APF, M. Jacques Krabal, et l’Administrateur de l’OIF, M.
 

Lancée par le gouvernement du Québec lors de la CdP21 à Paris (2015) dans le cadre d’un ensemble de mesures de coopération climatique, cette initiative jeunesse est destinée à favoriser la participation active des jeunes du Québec et des pays francophones les plus vulnérables à la lutte contre les changements climatiques. Elle permettra  d’appuyer et sensibiliser les  jeunes face aux enjeux climatiques, en vue d’assurer leur mobilisation  dans ce domaine.
 

 

Michaëlle Jean et Alice Albright se sont félicitées du fait que cette conférence se fasse en présence notamment de plusieurs chefs d’Etat et d’une cinquantaine de ministres ce qui montre que l’on a pris la mesure des enjeux au plus haut niveau. La Secrétaire générale s’est aussi réjouie de l’approche du PME qui souhaite conjuguer les efforts des pays donateurs (3,1 milliards de dollars sur période 2018–2020) articulés à ceux pays en développement (20 % du budget national) et enfin, à ceux des fondations philanthropiques et des entreprises privées.
 

Ce document juridiquement non contraignant a pour objectif « d’améliorer la coopération en matière de migration internationale ». Dans le cadre de cette conférence, l’OIF a organisé un évènement parallèle sur la « Mise en œuvre du Pacte mondial pour les migrations dans l’espace francophone : enjeux, actions, perspectives » le 09 décembre 2018.
 

Insistant sur la convergence entre les 23 objectifs du Pacte mondial et ceux du Rapport de la Secrétaire Générale sur les migrations dans l’espace francophone élaboré à la demande des États et gouvernements et présenté lors du Sommet d’Erevan, l’accent a été mis sur le levier que représente la Francophonie, à travers ses structures et réseaux, pour mettre en œuvre une meilleure politique de coopération internationale sur les migrations.
 

 

Intitulée « l’institution de l’oubli », cette conférence s’est déroulée à l’Institut français d’Haïti (IFH), devant un public venu nombreux. Elle a été animée par Me Jacques Letang, avocat accrédité aux Barreaux de Port-au-Prince et des Coteaux (Haïti), membre du Bureau des droits humains en Haïti (BDDH), et Arnaud Dandoy, Enseignant-Chercheur à l’Université d’Etat d’Haïti. Les orateurs ont décrit les réalités du milieu carcéral en Haïti, notamment au Pénitencier national, la plus grande prison civile du pays.
 

Cette rencontre, qui a mobilisé plus de 300 personnes, avait pour objectif d’évoquer les défis contemporains qui rendent plus complexe la mise en œuvre effective du droit international humanitaire et d’ouvrir des pistes de réflexions. L’Administrateur de l’OIF, Adama Ouane, a insisté dans son intervention lors de la cérémonie d’ouverture sur la double exigence de responsabilité des États et d’engagement de la communauté internationale, «{ cette double dynamique qui peut nous permettre d’assurer la protection de toutes les victimes dans les conflits armés} ».