Après avoir participé à un atelier twitter sur l’initiative [{{Libres ensemble}}->http://libresensemble.com/], organisé par l'OIF, ils ont assisté à un séminaire de formation sur la campagne du Conseil de l'Europe "Non à la Haine", organisé par le Bureau information jeunesse de Bruxelles et les Offices franco-québécois pour la jeunesse, avec 40 autres jeunes.

Une trentaine d’acteurs de la filière (comédiens, réalisateurs, scénaristes, producteurs…) et de cadres des ministères en charge du cinéma venus du Cameroun, du Congo Brazzaville, de la République centrafricaine, du Tchad et du Gabon y ont pris part. Organisée autour de 9 modules, cette rencontre avait pour but de renforcer les capacités des participants dans les différents métiers du cinéma et de mettre à leur disposition les outils nécessaires à la création et à la gestion d’une entreprise culturelle.

Les membres du jury ont récompensé les trois meilleures applications par des dotations offertes par l’OIF (1er prix : 10 000 euros, 2e prix : 6 000 euros, 3e prix : 4 000 euros + un an d’accompagnement). Le premier prix a été décerné à l’équipe Aram, 5 doctorants, développeurs et chercheurs en programmation informatique collaborative dans le domaine de l'innovation numérique.

S'exprimant à la cérémonie d'ouverture de la Conférence devant une centaine de représentants de la société civile francophone, Michaëlle Jean a rappelé la nécessité pour la Francophonie de s'appuyer sur ces acteurs de terrain "{incontournables}" en les associant de manière plus étroite aux réflexions et aux actions qu'elle mène.

Ce séminaire qui s’inscrit dans le Plan d’action régional de l’OIF pour l’Europe centrale et orientale, a favorisé la participation des organisations de la société civile des six pays de la région membres de l’OIF : Albanie, Arménie, Bulgarie, Ex-République yougoslave de Macédoine, République de Moldavie et Roumanie.

Cet atelier a réuni plus de 25 acteurs clés en matière de prévention de la torture, représentant la société civile, les institutions nationales des droits de l’Homme, la fonction publique, le secteur judiciaire et le gouvernement de six pays d’Afrique francophone, ainsi que des acteurs régionaux et internationaux. L’occasion d’explorer les enjeux et les pistes de solutions dans ces pays (Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Côte d’Ivoire, RDC et Sénégal), de partager les leçons apprises et les bonnes pratiques en matière d’éducation aux droits de l’Homme.

Cet événement s’inscrivait en suivi du concours international de plaidoiries francophones contre la peine de mort auquel l’OIF était associée, qui s’était tenu la veille au siège du Conseil national des Barreaux à Paris. Neuf jeunes avocats provenant de huit pays de l’espace francophone (Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Congo, Liban, Maroc, Niger et Tunisie) ont concouru pour le premier prix.

Cette rencontre, la troisième du genre, après celles de Bucarest (en décembre 2011), puis de Hanoi (en septembre 2014), a permis de réunir les représentants de six organes de presse pour échanger sur leurs expériences et besoins spécifiques : [Le Courrier de Moldavie->http://courrier.md], [Le Courrier d’Erevan->http://www.cde.am] (Arménie), [Regard->http://regard.ro] (Roumanie), [Gavroche->http://www.gavroche-thailande.com] (Thaïlande) et [Le Courrier du Vietnam->http://lecourrier.vn]. Elle s'inscrit dans le cadre du Plan spécial de l’OIF d'aide à ces journaux.

Accueillie par une équipe du Haut Commissariat pour les réfugiés des Nations unies qui leur a présenté la situation des personnes déplacées dans la région, la délégation a rencontré des familles en provenance de Syrie en situation de grande précarité. L'intégration des enfants syriens dans le système scolaire libanais a aussi été évoquée, sujet que la Secrétaire générale avait abordé la veille avec le ministre de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur.