Devant un parterre de plus de 400 participants, dont plusieurs chefs d’État et de gouvernement de l’espace francophone, la Secrétaire générale a d’abord rendu un hommage à son prédécesseur, le Président Abdou Diouf, pour son engagement et sa contribution dans la lutte contre la stigmatisation et la discrimination à l’endroit des personnes affligées par le VIH/SIDA. Michaëlle Jean a ensuite livré un puissant plaidoyer en faveur d’une approche plus globale et intégrée dans la lutte contre les pandémies comme le SIDA, la tuberculose et le paludisme.
 

La cérémonie a réuni autour de l’Administrateur de l’OIF, Clément Duhaime, du Secrétaire général de la Confemen, Jacques Ky Boureima et du représentant de la Ministre de l’Enseignement obligatoire et de la Promotion sociale de la Fédération Wallonie-Bruxelles, les Ministres en charge de l’Éducation et les chefs de délégation du Burkina Faso, de la République démocratique du Congo, du Maroc, de Maurice, de la Roumanie et du Vietnam.
 

Ce guide compile en un seul recueil des informations pratiques portant sur le mandat du Conseil des droits de l’Homme, ses mécanismes, ses procédures, l'organisation et le déroulement de ses travaux, y compris les règles régissant la présentation et l’adoption des résolutions. Initialement destiné aux seuls délégués francophones, il s'agit aujourd’hui d'un outil pouvant également servir aux délégués anglophones, hispanophones et arabophones couvrant les travaux du Conseil des droits de l'Homme, en particulier ceux récemment affectés à Genève.
 

 

Parce que c’est à travers l’adhésion des populations à la base que sera rendue possible la mise en œuvre des ODD, une centaine de représentants de collectivités locales, d’organisation d’élus locaux, des ministères de l’administration territoriale, de l’économie, de l’environnement et de la société civile du Burkina ont été réunis à Ouagadougou.
 

M. Ibrahima Sory Sylla, Représentant permanent adjoint de la mission permanente du Sénégal auprès des Nations unies, qui a présidé cette réunion, a souligné la pertinence et l'intérêt de regrouper autour d'une même table fonctionnaires et délégués francophones afin de traiter de la question du français et du multilinguisme dans le système des Nations unies. Le programme des Jeunes experts francophones, qui a pris fin en 2004, a permis de placer 55 jeunes francophones entre 25 et 32 ans, issus du Sud et d’Europe centrale et orientale, dans les organisations internationales.
 

Au siège d’ATD Quart Monde, à Ambihibao, Michaëlle Jean a rappelé que «{ la misère est une violence et que ne pas agir contre la pauvreté compromet le vivre ensemble} ». Elle a écouté de nombreux témoignages de personnes qui, par leur créativité, ont permis à des familles entières d'améliorer leur quotidien. D’où la volonté de la Francophonie, réitérée par la Secrétaire générale, d’associer les plus pauvres au développement de leur pays, en faisant appel à leurs compétences pour contribuer à créer des emplois et des sources de revenus durables.
 

 

M. Kiutyi a passé en revue les différentes actions menées par la CNUCED au profit des pays francophones et détaillé les différents évènements organisés à l’occasion du cinquantenaire de la CNUCED, qui sera fêté dans les prochains jours. Cette rencontre a permis aux Ambassadeurs francophones de rappeler leur attachement à la CNUCED et au rôle crucial qu’elle joue en faveur des pays en développement et des PMA.