Les organisateurs ont voulu profiter de ce Gala pour rendre hommage au Secrétaire général de la Francophonie, Abdou Diouf pour son implication dans les différentes éditions des Jeux de la Francophonie, notamment l’intégration de la lutte africaine au programme des Jeux.
 

Pendant dix jours, les volontaires vont se préparer à assurer leur mandat en renforçant leurs capacités à l’interculturalité et au leadership et en approfondissant leur connaissance à la fois de la Francophonie mais aussi de l’engagement au volontariat.
 

« {Ce partenariat permettra non seulement d’assurer la place de la langue française lors des Jeux mais aussi d’engager des actions conjointes dans les domaines culturels, éducatifs et sportifs, afin de promouvoir le plurilinguisme et le multiculturalisme} », a déclaré Manu Dibango... « { Le Comité d’organisation des Jeux entend travailler étroitement avec le Grand Témoin pour s’assurer que les services linguistiques offerts aux athlètes, aux officiels, aux journalistes et au grand public le seront effectivement en français qui, avec l’anglais, est l’une des deux langues officielle
 

 

|{{Le Lauréat}}| |{{In Koli Jean Bofane (RDC)}} {Congo Inc : Le testament de Bismarck}, Editions [{{Actes Sud}}->http://www.actes-sud.fr/catalogue/litterature/congo-inc] (France)| |Bio : In Koli Jean Bofane est né le 24 octobre 1954 à Mbandaka (R.D. du Congo) et vit en Belgique. {Pourquoi le lion n’est plus le roi des animaux} (Gallimard Jeunesse, 1996) est lauréat du Prix de la Critique de la Communauté Française de Belgique.
 

 

Cette visite s’est effectuée en prélude à la Journée mondiale contre la peine de mort célébrée le 10 octobre, en marge d’un séminaire parlementaire organisé les 9 et 10 octobre par le Ministère français des Affaires étrangères. Le but de la rencontre était de sensibiliser davantage à la nécessité de poursuivre le combat contre l’abolition de la peine de mort dans tous les États francophones où elle est encore pratiquée, particulièrement dans le monde arabe.
 

Placée sous le Haut patronage du Secrétaire général de la Francophonie, cette rencontre fut l’occasion de donner la parole à des personnalités de divers horizons venus éclairer un auditoire très varié sur l’engagement de l’OIF en faveur de la paix, de la stabilité et du développement de l’Afrique. La rencontre était organisée à l’initiative du Centre d’Information et de Promotion de l’Image d’une Nouvelle Afrique (CIPINA), ONG basée en Suisse.
 

L’appel à candidatures des volontaires internationaux de la Francophonie a de nouveau eu un grand succès : près de 3000 jeunes francophones ont déposé leur dossier. 19 nationalités sont ainsi représentées, avec une forte participation des femmes. Des candidatures nombreuses et de qualité, rendant la sélection d’autant plus compliquée.
 

Ces formations s’inscrivent dans le cadre de la deuxième composante du Programme, qui vise le renforcement des capacités des communautés promotrices et des acteurs locaux dans divers domaines tels que la planification du développement local, la maîtrise d’ouvrage et le développement des chaînes de valeur. Elles font partir d’une série de trois formations prévues pour l’année 2013 à l’endroit des acteurs locaux du Programme.