Cet engagement s’est inscrit dans le prolongement des débats intervenus lors de la 2e conférence des présidents autour de l’[étude comparative des politiques des régulateurs en matière d’égalité hommes-femmes->doc59713] réalisée par le Conseil supérieur de l’audiovisuel de la Communauté française de Belgique. Dans le [message->doc59711] qu’il a adressé aux participants, le Secrétaire général de la Francophonie M.
 

- [Lire le communiqué->art33077]
 

Entre 2008 et 2010, plus de 300 femmes du réseau des opératrices économiques de l’UEMOA ont suivi des formations à la gestion d’entreprise avec la méthode « Gérez mieux votre entreprise » (GERME) du Bureau international du Travail (BIT), organisées par l’OIF et l’UEMOA dans six pays d’Afrique francophone (Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Niger, Togo, et Sénégal). Le séminaire de Ouagadougou est l’occasion pour la vingtaine de formateurs ayant assuré ces formations de procéder à leur évaluation, de proposer des améliorations méthodologiques et de s'imprégner des orientations de la Platefor
 

Le 19 mai, Abdou Diouf a inauguré, en compagnie du Maire de la ville, le réseau des six [Maisons des Savoirs de Ouagadougou->art32393].
 

A travers ce prix, RFI, première radio française d’information internationale en continu, Reporters sans frontières, organisation internationale de défense de la liberté de la presse et l’OIF, qui mène un programme en faveur du pluralisme des médias et de la liberté de la presse, poursuivent l’objectif de découvrir et d’encourager des journalistes de talent des pays francophones. Un site Internet a été mis en ligne cette année à l’occasion du 10e anniversaire du Prix : [->www.prix-rfi-rsf-oif.org]
 

Gratuite et accessible dans tous les pays (à l’exception du Royaume Unis et de l’Irlande), TV5Monde+ Afrique propose une grille de programmes diversifiée présentant les multiples facettes d’un continent créatif, en mouvement, mais encore trop souvent méconnu. Fictions, séries, documentaires, magazines politiques, économiques, culturels, journaux d’actualité, événements, spectacles et divertissements permettront aux Africains et aux passionnés d’Afrique de rester en contact permanent et interactif avec le continent : la "webtélé" offre notamment la possibilité d’obtenir des
 

Onze sociétés de production de six pays francophones du Sud (Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Niger, Sénégal et Tunisie) présentent leurs productions (longs et courts métrages de fiction, séries documentaires, séries « télé »…) au Pavillon de la Francophonie, mis en place par l’OIF en collaboration avec le Conseil international des radios et télévisions d'expression française (CIRTEF).
 

Au cours de la rencontre, Abdou Diouf a rappelé l’action de la Francophonie pour le renforcement de la capacité de travail en français des diplomates européens et des journalistes, tant à Bruxelles que dans d’autres capitales européennes, et a sensibilisé son interlocuteur sur l’importance qu’attachent les ressortissants des pays francophones à une pratique équitable du multilinguisme dans les Institutions européennes.
 

Ce festival du film contribue à promouvoir la diversité des cultures africaines et créoles et à développer les industries culturelles des pays du Sud à travers le développement de partenariats avec le Québec et le Canada. Figurant parmi les principaux partenaires de cette 26e édition, l’OIF a récompensé les productions concourant dans la sélection « Africa Numérique » en décernant trois prix, dans les catégories long métrage, court métrage et série. _ - Le Prix du meilleur long est remis ex-æquo à Une femme pas comme les autres, de Abdoulaye Dao (Burkina Faso, 2008) et {Sai
 

« Nous sommes tous profondément bouleversés, chagrinés, désemparés suite à la catastrophe qui vient de frapper si cruellement Haïti. Je voudrais que toutes nos pensées aillent, en cet instant, vers le peuple haïtien, vers les familles en deuil, vers les blessés. Je voudrais y associer le personnel de notre Antenne régionale, du Programme « Justice en Haïti », du Bureau de l’AUF, ainsi que les professeurs et les étudiants de l’Institut de gestion. Cette tragédie nous concerne tous. N’abandonnons pas Haïti !