Le Réseau Normalisation et Francophonie est une association des agences publiques nationales des pays membres de l’OIF en charge des questions de normes et qualités. Il a été mis en place avec un l’appui de l’Institut de la Francophonie pour le développement durable (IFDD). Son but est de promouvoir dans les pays francophones, la maitrise et le respect des standards afin d’accéder à des marchés internationaux. Il vise aussi à accroitre l’influence des pays francophones dans les activités de normalisation internationales.
 

Venant des 9 régions de la Francophonie, ces jeunes, intégrés dans les délégations de leur pays, représenteront la jeunesse francophone aux différentes sessions du Conseil permanent de la Francophonie, du Conseil ministériel ainsi qu’au Sommet où ils présenteront la Déclaration des jeunes francophones aux Chefs d’États et de gouvernement. C'est la première fois que des jeunes francophones peuvent ainsi participer aux instances de décision de la Francophonie.
 

« {Les Ontariens ont tout à gagner à voir leur modèle valorisé, leur expertise mise à contribution au plan international, en pérennisant leurs acquis dans un équilibre à préserver au sein du territoire et à l’échelle du pays avec le Canada, le Québec et le Nouveau-Brunswick, membres et acteurs majeurs de l’OIF, et en partenariat avec l’Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF) et les opérateurs de la Francophonie – l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF), l’Association internationale des maires francophones (AIMF), TV5 Monde et l’Université Senghor d’Alexandrie ainsi
 

 

Une vingtaine d’enseignants-formateurs venant du Cambodge, du Laos et du Vietnam ont participé à trois journées de formation-action pour produire leurs sites web pédagogiques personnalisés. Ils seront chargés de démultiplier ces compétences auprès de leurs pairs. Cette formation s’inscrit dans le cadre des actions de l’OIF pour l’amélioration de la qualité des systèmes éducatifs et de l’enseignement du français langue étrangère en contexte plurilingue.
 

En présence du Ministre du Commerce et de l’Industrie, Tr?n Tu?n Anh, Michaëlle Jean a prononcé un discours lors duquel elle a salué l’élan et le bilan économique du Vietnam. Elle a entre autres souligné la création de près de 100.000 nouvelles entreprises l’an dernier au pays. La Secrétaire générale a également partagé avec les participants les grandes lignes de la Stratégie économique pour la Francophonie en rappelant l’importance de l’apport et du rôle du Vietnam pour la réussite de sa mise en œuvre.
 

Un des volets de l’action de la Francophonie consiste à faciliter l’insertion harmonieuse de ses pays membres dans le système commercial multilatéral. Un défi immense lorsque l’on sait par exemple que la part de l’Afrique subsaharienne dans le commerce mondial se situe autour de 2%. La rencontre de Bamako s’inscrivait dans ce cadre. Elle a rassemblé une soixantaine d’acteurs publics et privés de cinq filières prioritaires : coton/textile, cuir/peaux, mangue, gomme arabique et karité.
 

Cette distinction lui a été remise par l'Administrateur de l'OIF, Adama Ouane, en présence de Rudy Demotte Ministre Président de la Fédération Wallonie Bruxelles et de Françoise Nyssen, ministre française de la Culture, ainsi que des membres du jury, parmi lesquels sa présidente, Paula Jacques, et Jean-Marie G.
 

Ce projet doit permettre de faire vivre "{la francophonie des peuples en venant à la rencontre des citoyens et des citoyennes}", a indiqué Michaëlle Jean, qui invite à "{multiplier et créer de telles structures qui renforcent la cohésion sociale}". L'OIF a soutenu cette initiative en la dotant d’un lot de mobiliers de bureau, de matériels audiovisuels, de matériels de sonorisation et d’ouvrages.