Publié le : 10/12/2017
Cette session a été animée par la Directrice du service de traduction de l’OCDE, ancienne Directrice de l’Ecole supérieure d’interprètes et de traducteurs (ESIT, Université Sorbonne nouvelle, Paris III), ainsi que par un interprète de la Direction générale de l’interprétation de la Commission européenne. Elle avait pour objectif de renforcer les compétences des interprètes qui ne bénéficient traditionnellement pas de ce type de programmes, alors qu’ils sont des acteurs majeurs de la promotion du multilinguisme dans les instances basées à Addis-Abeba.
Publié le : 10/12/2017
Cette rencontre a permis tout d’abord de rappeler l’ampleur des drames humains qui se jouent sur les périlleuses voies de la migration menant vers l’Europe ou le Moyen-Orient (esclavage sexuel et domestique, arrestations arbitraires, mauvais traitements…).
Publié le : 10/12/2017
|Bio : Né en 1980 à Tunis, Yamen Manai vit à Paris. Ingénieur, il travaille sur les nouvelles technologies de l’information.|
|Résumé : Aux abords de Nawa, village de l'arrière-pays, le Don, apiculteur, mène une vie d’ascète auprès de ses abeilles, à l'écart de l’actualité. Pourtant, lorsqu’il découvre les corps mutilés de ses « filles », il doit se rendre à l’évidence : la marche du monde l’a rattrapé, le mettant face à un redoutable adversaire.
Publié le : 10/12/2017
Doté d’un million d’euros par an, le Fonds Image de la Francophonie est le fonds d’aide à la production audiovisuelle et cinématographique de l’OIF. Il soutient exclusivement des projets de réalisateurs francophones du Sud. Ses deux commissions se réunissent chacune deux fois par an, en avril-mai et en septembre. Toutes les informations sur le fonds sont à retrouver sur le site [Images francophones->http://www.imagesfrancophones.org].
Publié le : 10/12/2017
Cet évènement, qui s'est tenu au Conseil national des barreaux à Paris, a débuté par une conférence réunissant notamment l’Ambassadeur français pour les droits de l’Homme, François Croquette, et Jacques Bilodeau, Conseiller spécial de la Secrétaire général de la Francophonie. Au cours de cette conférence des chercheurs, des avocats, des militants des droits de l’Homme et un ancien condamné à mort aux États-Unis ont mis en lumière le fait que le combat contre la peine de mort est aussi un combat contre la discrimination.
Publié le : 09/12/2017
La délégation suisse a notamment échangé avec le Représentant permanent de l’OIF à Genève, l’Ambassadeur Henri Monceau, autour du positionnement et des valeurs de la Francophonie, en particulier autour des mécanismes mis en place par l’OIF pour promouvoir les valeurs démocratiques et l’Etat de droit. Puis plusieurs interventions d’experts ont permis de dresser l’inventaire de défis géopolitiques d’intérêt pour la Francophonie et de faire un état des lieux de la traite des femmes migrantes en Suisse.
Publié le : 09/12/2017
Le festival d’Angoulême, dirigé par Marie-France Brière et Dominique Besnéhard met en avant chaque année un pays membre de la Francophonie et comporte également une compétition où figurent cette année dix films français, belges, québécois, tunisien et burkinabè. Les deux films francophones du Sud en lice sont « La belle et la meute » de Kaouther Ben Hania et « Frontières » d’Apolline Traoré. Tous deux ont été produits avec le soutien du Fonds Image de la Francophonie et de TV5Monde, également partenaire du festival.
Publié le : 08/12/2017
Cette formation organisée conjointement par le Ministère de l’Éducation et de la Science de Bulgarie, le Centre régional francophone pour l’Europe centrale et orientale (CREFECO) de l’OIF, le Département d’information, de qualification et de formation continue de l’Université de Shumen à Varna et l’Institut français de Bulgarie visait à développer les compétences professionnelles des participants et les échanges sur leurs pratiques.
Publié le : 06/12/2017
Pendant toute une journée, les participants ont animé des discussions thématiques relatives aux problèmes auxquels sont confrontés les acteurs de la musique en Haïti et fait des recommandations pour y remédier. La table ronde de clôture a mis fin à plus de douze mois de travail au cours desquels des focus groupes et une enquête de terrain ont permis de recueillir des informations auprès de 1 520 professionnels de la musique, aussi bien dans la capitale qu’en province.