Il a réuni les représentants de 13 pays francophones du Sud (Burkina Faso, Côte d'Ivoire, Djibouti, Gabon, Guinée, Haïti, Madagascar, Mali, Niger, Sénégal, Togo, Tchad, RDC) afin d'examiner les mécanismes d'accès au Fonds pour l'Adaptation (FA) et au Fonds Vert Climat (FVC). Pour chacun de ces fonds, les participants à l'atelier de Dakar ont tour à tour suivi des présentations sur les politiques et procédures, les processus d'accréditation, les modalités d'accès aux ressources, etc. - [Retrouvez le reportage de la RTS sur l'atelier->https://youtu.be/gq0JwYgLpz4?t=35m25s]
 

{{{RDC}}} Ce débat ministériel a été ouvert par le Secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, qui a lancé officiellement le cadre stratégique régional des Nations unies pour les Grands Lacs (2016-2017). Abordant la situation en République démocratique du Congo (RDC), M. Couchepin a souligné l’importance de l’organisation d’élections inclusives et crédibles dans ce pays.
 

Avec pour origine le constat d'une insuffisance de l'usage du français lors des points de presse de la Commission européenne et dans les documents mis à la disposition des journalistes, l'idée de ce projet avait été émise par la Représentation de l'OIF auprès de l'Union européenne, et immédiatement soutenue par le directeur du Press Club Bruxelles-Europe, Laurent Brihay, ainsi que de nombreux correspondants de presse et journalistes de la place internationale qu'est devenue Bruxelles.
 

Ce forum a particulièrement mis l’accent sur le caractère innovant et concret des solutions mises en place par les jeunes. Le Directeur de l’éducation et de la jeunesse de l’OIF, Ma-Umba Mabiala, s’est exprimé à l’occasion de la séance plénière du forum mais aussi lors d’un événement parallèle organisé par la Représentation Permanente de l’OIF à New York, en collaboration avec la Mission permanente de Madagascar auprès des Nations unies. Il a insisté sur la nécessité d’élaborer et de mettre en œuvre des politiques publiques inclusives de jeunesse. Dans cette perspective, M.
 

Adama OUANE a fait part, au nom de la Secrétaire générale de la Francophonie, de la ferme condamnation par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) de l’odieux attentat perpétré contre le centre islamique de Québec dimanche soir. « {Ce sont nos valeurs d’ouverture et de liberté, de paix et de vivre ensemble, qui ont été une fois encore visées et ébranlées} » a-t-il ajouté.
 

A cet effet, une cérémonie de remise de matériel informatique s’est tenue le mercredi 8 février au Ministère de l’Education nationale et de l’Education civique du Gabon, en présence, Florentin Moussavou, Ministre de l’Education nationale et de l’Education civique, par ailleurs président en exercice de la CONFEMEN.
 

 

Cette initiative s’inscrit dans le cadre d’un partenariat entre ces différents acteurs. Il vise notamment à améliorer les capacités d’accès aux savoirs des élèves de cette école « Napoléon » dont les enseignements sont en français. L’OIF, dans le cadre de cette première opération de soutien, a donc permis l’achat de 20 liseuses numériques.
 

Dans le cadre de l’étroite collaboration nouée avec la Cour, concrétisée par la signature en 2012 d’un accord-cadre de coopération, et en suivi de l’intervention du Secrétaire général de la Francophonie l’année dernière, à la 13e session de l’AEP à La Haye, l’OIF a délivré un message lors du débat général de l’AEP à New York. Elle a rappelé son engagement auprès de la Cour et son attachement en faveur du renforcement de la lutte contre l’impunité et le développement de la justice pénale internationale dans le respect de la souveraineté des États et dans la pleine application des
 

Par ce document, l’OIF et l’Assemblée conviennent de renouveler leur coopération, par le biais de leurs organes compétents, en vue de contribuer à la réalisation des objectifs qu’elles ont en commun, notamment par l’échange d’information et de documentation, par la consultation et la représentation réciproques ainsi que par la réalisation d’actions conjointes. L’OIF et l’APF réaffirment ainsi des mécanismes qui ont pour but d’améliorer leur réactivité. « {À l’APF, il n’existe pas de pouvoir législatif, mais une assemblée consultative.