Cette édition 2015 a permis à 220 lycéens et étudiants, aux enseignants et animateurs venant de 11 pays francophones (Albanie, Arménie, Belgique, Bulgarie, République de Centrafrique, Congo, France, Liban, Ex République Yougoslave de Macédoine, la République de Moldova, et la Roumanie) d’échanger, de dialoguer et de découvrir la diversité culturelle des pays francophones.
 

 

Tous deux ont souligné l’émergence du thème économique dans les objectifs de la Francophonie. Madame la Ministre a plus particulièrement rappelé le rôle du partage d’une langue et de valeurs dans la construction de partenariats mutuellement profitables et la mise en valeur des atouts propres à chaque acteurs dont bien entendu le Québec.
 

Tout au long de la journée, les conférenciers de haut niveau qui se sont exprimés dans les différentes sessions organisées par l’OIF ont mis en valeur le potentiel économique, humain, ou encore énergétique de l’espace francophone, et ont indiqué comment, de leur point de vue, les pays francophones peuvent le réaliser ensembles. Ils ont souligné le poids des pays francophones dans le monde et, au sein de l’espace francophone, celui de l’Afrique, devenue la seconde zone de croissance la plus forte derrière l’Asie.
 

 

(OIF)

Le premier volet a traité de la révolution numérique dont les bénéfices permettent de faciliter l’accès des enseignants aux ressources ouvertes et libres en éducation (ROLE), aux connaissances, à la production, à l’échange de contenus, à la formation continue ainsi qu’à la production de ressources pédagogiques.

(OIF)

 

Abdou Diouf, Secrétaire général de la Francophonie, condamne, ce lundi 25 mars, la prise de pouvoir par la force perpétrée hier, le dimanche 24 mars, en République Centrafricaine (RCA) par la coalition Séléka, et qui constitue une violation flagrante des accords de Libreville. « {Cette remise en cause de l’ordre constitutionnel est inacceptable pour la communauté francophone attachée aux principes de la démocratie et de l’Etat de droit} » a-t-il déclaré.
 

Mohamed Haddad est Docteur ès lettres de la Sorbonne (Paris), professeur universitaire, spécialiste en civilisation arabe et histoire des religions, et auteur lui-même de divers ouvrages sur le fait religieux. {{En savoir plus : - [le communiqué de presse->art44713]}}
 

 

Cet événement réunit une vingtaine de ministres africains, aux côtés de nombreux intervenants : représentants du monde de l’éducation, d’organismes de développement, du secteur privé spécialisé dans les TIC et de la société civile.