Lors de cette rencontre, ils ont échangé sur la coopération entre la Francophonie et la République du Tchad, et abordé plusieurs questions d’actualité internationale, notamment la lutte contre le terrorisme. Rappelant le lien substantiel entre la sécurité et le développement, Madame Jean a salué le leadership du président Déby et les sacrifices énormes de l’Armée tchadienne dans la lutte contre ce fléau.
 

Avec plus de 8 000 inscrits à ce jour, ce projet répond à une demande réelle et vise le développement et le renforcement des compétences professionnelles des enseignants de français langue étrangère et langue seconde. Il permettra à certains participants d’obtenir une première certification professionnelle. Dans un format cours (12 à 15h de formation), et une approche très pragmatique, ce CLOM se propose de faire acquérir les principes de base de l’enseignement du FLE.
 

En sa qualité de Président en exercice de l’Union africaine, Monsieur Condé a échangé avec Madame Jean sur la situation politique préoccupante dans certains pays francophones d’Afrique. Ils ont évoqué l’urgence et la nécessité de rechercher des solutions durables. Les deux responsables ont également abordé des sujets d’actualité, tels que la lutte contre le terrorisme, en particulier dans la région sahélo-saharienne.
 

La Secrétaire générale et le Ministre ont abordé les nombreux domaines de coopération entre l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et la France, allant de la lutte contre la radicalisation, les Opérations de maintien de la paix dans les pays francophones, la stratégie économique de la Francophonie et l’éducation. « {Je me réjouis de la place que la France accorde à la Francophonie dans les orientations de sa politique étrangère, récemment réaffirmées par le Président de la République } » a déclaré la Secrétaire générale.
 

« {Le but de ce Congrès extraordinaire – le deuxième seulement en 144 ans d’existence de l’UPU – est de s’assurer que l’Union est en mesure de stimuler un développement viable sur l’ensemble du réseau postal international} », a déclaré le Directeur général de l’organisation, Bishar A.
 

Depuis 2013, l’OIF soutient, dans le cadre de la feuille de route signée avec le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’Homme (HCDH), un projet mis en œuvre par le Centre des Nations unies pour les droits de l’Homme et la démocratie en Afrique centrale (CNUDHD-AC) sur des actions de sensibilisation et de formation dans le domaine des entreprises et des droits de l’Homme.
 

Le lancement de la session 2018 des Sambas professionnels a eu lieu le 3 septembre, au cours d’une conférence de presse qui a été l’occasion de présenter aux médias les différents ateliers de formation, les formateurs et les partenaires de l’événement.
 

Créée à Lomé en décembre 2015, l’ECAO vise à former de futurs décideurs de la classe politique et de la société civile en Afrique de l’Ouest. Une initiative qui a bénéficié dès sa conception du soutien technique et financier de l’OIF. Cette deuxième session a réuni une trentaine de jeunes professionnels (parlementaires, avocats, journalistes et militants de la société civile) venus de huit pays francophones d’Afrique de l’Ouest : le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Togo.
 

Après le succès rencontré par « l’atelier sur les techniques de recherche d’emploi », organisé à Petit-Goâve et à Saint-Marc (Haïti), le Bureau régional de l’OIF pour les pays de la Caraïbe et de l’Amérique latine (BRECAL) a réitéré l’expérience dans deux autres villes.
 

L’OIF et l‘Institut français mènent depuis des années une grande variété d’actions en commun dans les domaines de la langue française, du livre, des arts du spectacle, du cinéma et de l’audiovisuel.