- [Téléchargez le pdf->doc66909]
 

Une cinquantaine de jeunes francophones, hommes et femmes, ont été sélectionnés par l’OIF, pour être déployés sur le terrain, comme volontaires internationaux de la Francophonie (VIF). D’un âge compris entre 21 et 34 ans, ces jeunes sont ressortissants de dix-neuf pays membres de la Francophonie. Ils ont été choisis, sur la base de leurs compétences professionnelles et personnelles, parmi près de 5 000 candidats.
 

Les deux co-facilitateurs de ce processus, Juan Jose Gomez Camacho, Représentant permanent du Mexique auprès des Nations unies et Jürg Lauber, Représentant permanent de la Suisse, sont revenus sur la phase préparatoire des négociations. Celle-ci, marquée par des consultations approfondies avec les différentes régions et l’ensemble des acteurs gouvernementaux et non gouvernementaux intéressés, a permis de parvenir à une meilleure compréhension de toutes les dimensions de la migration.
 

Des experts du Cameroun, de Côte d’Ivoire, de France, du Niger et de la République Démocratique du Congo y ont pris part. Des représentants des missions diplomatiques de la Côte d’Ivoire, de la France, la République Démocratique du Congo et du Sénégal ont assisté aux travaux. Les débats ont porté sur l’état des lieux et les enjeux de la diffusion du Droit dans les différents pays représentés, une nouvelle stratégie d’actions du RF2D (quelles matières diffuser ? quelles cibles de diffusion à privilégier ? quels vecteurs de diffusion ?
 

 

Haïti va prendre les mesures d’atténuation dans les secteurs de l’énergie, de l’agriculture et de la foresterie et celui des déchets pour lutter contre les changements climatiques et s’engager dans la voie du développement durable. Depuis 2010 et le tremblement de terre, la coopération avec Haïti est une des priorités de l’OIF.
 

Les pays en développement de l’espace francophone, engagés dans l’atteinte des Objectifs de développement durable doivent mobiliser des financements considérables pour assurer la transformation structurelle de leurs économies. Comment, dans un contexte de tensions sur les finances publiques – liées à une reprise de l’endettement et au recul de l’aide publique au développement – assurer le financement des réformes nécessaires ? Quelle évolution des règles internationales ? Quelles stratégies pour mobiliser les investisseurs privés ? Quelles dynamiques partenariales ?