S’adressant au corps professoral et aux élèves, la Secrétaire générale de la Francophonie a évoqué les actions menées par l’OIF, et notamment le nouveau plan d’action régional qui se propose de soutenir des activités scolaires et parascolaires en français.

M. Chungong a exprimé sa volonté d’œuvrer pour une plus grande ouverture de l’UIP, notamment en faveur des femmes et des jeunes. Deux axes prometteurs de coopération avec l’OIF ont pu être identifiés : d’une part, l’enracinement et l’approfondissement du cadre démocratique, et d’autre part, le renforcement du rôle des parlementaires dans la prise en compte, au niveau national, de décisions prises à l’échelle internationale.

Les deux responsables se sont félicités de la coopération très riche et fructueuse entre l’OIF et le Cameroun. Michaëlle Jean a fait part de sa volonté de la renforcer, particulièrement dans le domaine économique et en matière de développement durable.

Onze pays du G20, 15 pays membres du Commonwealth et de la Francophonie faisant partie des Pays les moins avancés, des Petits Etats insulaires en développement et des Pays à revenu intermédiaire de la tranche inférieure, ainsi que plusieurs organisations internationales ont participé à cette rencontre.

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Ce document s’adresse à la communauté éducative mondiale et a pour but de contribuer à un changement des pratiques ainsi qu’à une multiplication des REL de qualité en français et dans toutes les langues d’enseignement.

Lors de la séance d’ouverture, le Président de l’Assemblée générale, M. Sam Kutesa et le Vice-secrétaire général des Nations Unies, M. Jan Eliasson, ont fait des déclarations liminaires soulignant l’importance du maintien de la paix dans l’activité des Nations Unies. L’OIF a pris part au débat général, le 18 février. Dans sa déclaration, le Représentant permanent a souligné l’engagement de la Francophonie en faveur du maintien de la paix, et a présenté les actions menées dans ce cadre.