Cette rencontre, animée par Michèle Cartier le Guérinel, présidente du RAPF, a réuni trois intervenants : Benjamin Ngongang (France), Président d’O.S.E.R.
 

Réunis au Lycée « Sami Frasheri », à Tirana, les enseignants ont suivi 30 heures de formation animée par Francine Beissel du Centre de linguistique appliquée de Besançon.
 

 

 

 

Ce défenseur des droits humains a été condamné à 10 ans d’emprisonnement et à 1 000 coups de fouet en avril 2014 pour avoir notamment créé un site Internet et encouragé la liberté d’expression. Depuis, sa femme et ses trois enfants se sont installés au Québec. Le 9 janvier 2015, M. Raif Badawi a reçu 50 coups de fouet en public, ce qui constitue un acte de torture interdit par le droit international. Le 12 juin 2015, la Cour suprême d’Arabie saoudite a confirmé cette condamnation et expliqué que cette décision était non susceptible d’appel.
 

Au cours de cette rencontre, co-présidée par les Ambassadeurs du Bénin et de la Suisse, les participants ont procédé à un état des lieux de la mise en œuvre du récent accord négocié par les pays membres de l’OMC à Bali. Les discussions ont aussi porté sur les expériences conduites dans certains pays membres dans le cadre de cet accord, et sur les perspectives de l’« agenda de Doha pour le développement ».
 

L'OIF s’attachera à promouvoir les films « Timbuktu - le pacte des oiseaux » d’Abderrahmane Sissako (Mauritanie) en sélection officielle et « Run » de Philippe Lacôte (Côte d’Ivoire) dans la catégorie « Un certain regard ». L’OIF prendra également en charge trois jeunes cinéastes issus de pays membres de la Francophonie dans le cadre de la 6ème édition de la Fabrique des Cinémas du Monde Enfin, un [hommage->doc63604] sera rendu à Paulin Soumanou Vieyra (Bénin-Sénégal), l’un des précurseurs du cinéma africain. ---- {{En savoir plus : - [Le communiqué de presse->http:/
 

Cet accord prévoit le développement de la coopération entre les deux organisations, au profit des Etats et gouvernements membres de la Francophonie en matière de prévention des conflits, de médiation dans les pays en crise et en sortie de crise, de promotion des droits de l’Homme, ainsi qu’en faveur de la consolidation de l’État de droit.
 

Lancé le 16 mars dernier à l’occasion du vernissage de l’exposition « Francophonie : histoire et diversité », le concours visait les anciens et actuels apprenants du français aux Nations Unies (diplomates et fonctionnaires). Selon leur niveau, les candidats ont été en compétition dans trois catégories, en se référent à des œuvres des auteurs francophones que sont Léopold Sedar Senghor, Albert Camus et Gabrielle Roy.