La production endogène de manuels scolaires constitue un enjeu et un défi pour les pays africains afin d’assurer une meilleure adéquation des enseignements et des apprentissages.
 

Une première qui a permis de vérifier la diversité des trajectoires des différents journaux, mais également les conditions difficiles dans lesquelles les journalistes, qui font vivre la langue française, exercent leur métier. Le bilan ainsi dressé devrait permettre à l’OIF de proposer, courant 2012, un nouveau programme d’appui destiné à la presse francophone dans ces pays où le français est langue minoritaire.
 

Le projet sélectionné vise plusieurs actions de sensibilisation et de formation aux outils numériques dédiés à l'entrepreneuriat qui seront menées en 2013 en République démocratique du Congo. Mise en œuvre en 2011 conjointement par la Ville de Kinshasa, l’OIF et l’Association internationale des Maires francophones (AIMF), la Maison des savoirs de Kinshasa verra la réalisation de sa programmation soutenue par l’OIF en 2013.
 

Quotidiennement, les régulateurs reçoivent, traitent et analysent des plaintes de citoyens concernant le respect par les médias de leurs obligations règlementaires. Cette activité constitue une responsabilité fondamentale des membres du REFRAM en termes de défense de l’intérêt général et de service rendu au public. Compte tenu de ces exigences, cette première boîte à outils présente et développe quelques éléments et étapes essentiels du cycle du traitement d’une plainte. Son objectif est d’accompagner le travail des régulateurs lorsqu’ils sont saisis d’une telle requête.
 

Comme il l’avait déjà fait pour le premier tour, le Secrétaire général a souhaité confier la responsabilité de la conduite de la délégation de la Francophonie à Gérard Latortue, ancien Premier ministre d’Haïti. Composée d’une dizaine de personnalités issues de l’espace francophone, la mission séjournera à Abidjan à partir du 23 novembre 2010. La mission œuvrera conformément aux Principes directeurs de la Francophonie en la matière et aux engagements consignés dans la Déclaration de Bamako, notamment en son volet « élections ».
 

Le SEFOR qui s’est déroulé du 29 novembre au 3 décembre à Niamey avait pour thème « Médias de service public : la marque à renforcer ». Une partie des débats a porté sur le passage à la diffusion en numérique, qui pourrait, à terme, placer les chaînes publiques face une concurrence encore plus forte des opérateurs privés. De cette pression accrue peut naître la tentation d’un oubli des missions de service public.
 

82 enseignants chercheurs en provenance de sept pays francophones (Belgique, France, Cambodge, Canada, Laos, Thaïlande, Vietnam, Vanuatu) plus la Malaisie, la Chine et Singapour, ont évoqué le français à travers ses représentations, ses pratiques et les politiques linguistiques des États. Les constats ont fait part d'une situation extrêmement disparate avec des pays où le français se porte bien – la Chine, la Thaïlande – et une inquiétude face au recul du français au Laos, au Cambodge et au Vietnam.
 

Cet entretien a été l’occasion d’informer les autorités malgaches des conclusions de la 27e session de la Conférence ministérielle de la Francophonie (CMF) qui a fait sienne la résolution sur Madagascar adoptée par le Conseil permanent lors de sa session du 30 novembre relative aux mesures dont ce pays fait l’objet, dans l’attente d’une prochaine évaluation de la mise en œuvre de la feuille de route de sortie de crise.

Andry Rajoelina et Abdou Diouf _ (Cyril Bailleul/OIF)

 

Cette Journée était destinée aux hommes et femmes engagés en politique, aux organisations non gouvernementales, à la société civile, aux étudiants et citoyens intéressés par cette thématique. Ouverts par le Président de l’Assemblée nationale sénégalaise, Moustapha Niasse, les débats ont été animés par des experts et des femmes politiques du Sénégal, du Canada, d'Égypte, de France, de Suisse, de RDC et du Mali.
 

Les Médiateurs et Ombudsmans de l’espace francophone se sont penchés sur la problématique de l’action préventive du Médiateur, ainsi que sur son indépendance. Ils ont fait le point des actions de coopération développées par l’AOMF dans le secteur de la formation en médiation. A l’issue du Congrès, l’Assemblée générale de l’AOMF a désigné Monsieur Serigne DIOP, Médiateur de la République du Sénégal, en qualité de Président de l’AOMF. {{En savoir plus : - [AOMF->http://www.aomf-ombudsmans-francophonie.org]}}