Sur le perron du Palais de l'Elysée, le 5 octobre 2011 - de g. à d. : Kamalesh Sharma, Abdou Diouf et Jean-Pierre Raffarin, représentant de Nicolas Sarkozy pour la Francophonie. _ (Cyril Bailleul/OIF)

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Au programme de cette biennale de la danse africaine : des représentations de danse traditionnelle et contemporaine par des troupes africaines, européennes et asiatiques, une compétition nationale de danse, des ateliers, des expositions, de même que des concerts – avec notamment le groupe antillais Kassav’ –, ainsi qu’une conférence sur l'économie créative et ses perspectives en Afrique. Dans le cadre de son action en faveur de la circulation des artistes des pays du Sud, l’OIF a soutenu la participation au Fespad de trois compagnies : les troupes Quena (Egypte), Bakenga (Congo) et
 

La Maison des savoirs de la Francophonie a été inaugurée le 7 juillet 2011 par Abdou Diouf, André Kimbuta, Gouverneur de Kinshasa et Raymond Tshibanda, Ministre de la Coopération internationale et régionale chargé de la Francophonie.
 

Parce qu'aujourd'hui "{les enjeux d'identité et de culture sont au cœur de la dynamique mondiale}", comme le souligne Abdou Diouf dans la préface, cet essai ouvre une perspective stratégique en proposant de les inclure au même niveau que les enjeux géopolitiques et géoéconomiques, dans la gouvernance mondiale. Les politiques nationales, indispensables pour gérer les conséquences de la mondialisation, ne pourront, selon les auteurs, être efficaces que si des entités géoculturelles s’instituent comme aires d’interactions culturelles privilégiées.
 

Le public a eu l’opportunité de rencontrer trois écrivains francophones de talent : Kossi Efoui, lauréat en 2009 du [Prix des 5 continents de la Francophonie->art28807] pour {Solo d’un revenant} (Seuil), Hubert Haddad, qui avait remporté la même distinction l’année précédente avec {Palestine} (Zulma), et enfin Felwine Sarr, qui évoquera son dernier roman intitulé {Dahij} (Gallimard). Cette tournée s’inscrivait dans le cadre des actions conduites par l'OIF pour promouvoir les lauréats du Prix des cinq continents et, plus largement, les auteurs francophones, ainsi que dans la coop
 

[->http://www.conferencedemontreal.com] A cette occasion, l’OIF a organisé le 9 juin un forum sur « L’insertion des pays en développement dans un commerce mondial remodelé par la crise ».
 

Cette nomination constitue un nouveau pas vers l’internationalisation de la gouvernance de l’Internet souhaitée par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) qui s’est fortement mobilisée à travers son Institut de la Francophonie numérique (IFN) et assuré la participation de ces deux experts. Les deux experts de haut niveau francophones font à présent partie d’un groupe restreint de représentants de confiance de la communauté de l’Internet.
 

À l’occasion de sa mission au Burundi, Clément Duhaime a pu constater les résultats très positifs des programmes développés par l’OIF en coordination avec les équipes nationales burundaises dans les secteurs de l’éducation et de la culture. Notamment l’Initiative francophone de formation à distance des maîtres (IFADEM), dont la phase expérimentale au Burundi vient de prendre fin, et qui pourrait [être étendue à tout le pays->art31879].
 

Le Secrétaire général a commencé par se féliciter de l’excellente coopération entre le ministère des Affaires étrangères et l’OIF, notamment dans les domaines de la [promotion de la démocratie, de l’Etat de droit et des droits de l’Homme->rub292] qui illustrent l’importance et l’utilité d’une bonne synergie entre l’action bilatérale et l’action multilatérale francophone. Les deux hommes ont ensuite évoqué les situations de crises, nombreuses et simultanées aujourd’hui dans l’espace francophone.
 

Le programme ACP Films II (Secrétariat ACP/Fonds européen de développement) a lancé un [appel à propositions avec date limite de soumission au 30 juin 2011->http://www.acpfilms.eu/htdocs/modules/content/index.php?id=13&page=appel-a-nbsp-projets-la-agenda-21-de-la-culturecall-for-proposals-agenda-21-for-culture]. Cet appel porte notamment sur des projets de production audiovisuelle ou cinématographique (lot 1), lesquels doivent être présentés par des associations ou des entreprises de droit privé ressortissantes d’États ACP.