Les conclusions de cette Conférence de deux jours qui mobilise les principaux acteurs de la promotion du français à l’international alimenteront le « Plan d’ensemble pour la promotion de la langue française et du plurilinguisme dans le monde». La Secrétaire générale a salué cette initiative du Président Emmanuel Macron vigoureusement pilotée par l’Institut français. « {La langue française, à travers la Francophonie, met le monde en réseau parce que nous avons tous à apprendre les uns des autres, dans tous les domaines} » a-t-elle déclaré.
 

Cette réunion a permis un échange d’informations sur l’actualité et l’agenda de l’OIF dans les pays de la région, notamment la signature d’un mémorandum de partenariat dans le domaine de l’éducation avec 4 pays membres d’Europe centrale et orientale (l’Albanie, l’Arménie, la Moldavie et la Roumanie), la programmation régionale pour l’année 2018, les festivités régionales prévues autour du mois de la Francophonie, ainsi que le prochain sommet de la Francophonie, en octobre prochain en Arménie. Lors de cette rencontre, Sergey Minasyan, ambassadeur de l’Arménie en Roumani
 

Le CESE, réuni mercredi 10 janvier pour la première séance plénière de l’année 2018, a adopté un avis au Gouvernement sur « Le rôle de la France dans une francophonie dynamique » élaboré par la section des Affaires européennes et internationales de cette assemblée représentative de la société civile française dans sa diversité et sa richesse qui exerce un rôle de conseil au Gouvernement et au Parlement sur l'élaboration des lois et sur les orientations des politiques publiques.
 

L’exercice, conduit par Salvatore Saguès de la Direction « Affaires politiques et Gouvernance démocratique » de l'OIF (DAPG), avec l’équipe de la Représentation permanente de l’OIF à Genève, s’est déroulé en présence de tous les membres de la délégation malienne, conduite par la Ministre des Droits de l’Homme du Mali, Me Kadidia Sangaré Coulibaly. Cette simulation a permis de passer en revue les conditions du déroulement de l’EPU et d’identifier les meilleures pratiques, notamment en matière de gestion du temps et de réponse aux questions et aux recommandations.
 

 

 

Louise Mushikiwabo a d’abord tenu à rappeler auprès des employés basés au siège à Paris et dans les unités hors siège sur les cinq continents que les valeurs de la Francophonie restaient plus que jamais d’actualité : « {Notre mandat n’a rien d’un combat passéiste ou d’une ambition illusoire. Bien au contraire. La Francophonie doit prendre pleine possession de son rôle sur la scène internationale. Elle doit gagner en pertinence, et aussi surtout, en visibilité} ».