Une rencontre dont l’attrait ne se dément pas, au vu du nombre élevé de candidatures reçues et de la présence de plus d’une trentaine de participants, de la diversité des statuts et mandats des institutions et organisations représentées, des 24 États représentés – dont 21 membres de plein droit de l’OIF –, et des profils mêmes des participants (juristes, diplomates, formateurs, inspecteur, commissaire, député, acteurs et actrices de la coopération internationale). L’OIF a soutenu la participation de représentants de trois organisations accréditées auprès de sa Conférence des OING
 

Lors de son intervention, le 1er mai 2018, la Secrétaire générale adjointe à la communication des Nations Unies, Alison Smale, est revenue sur les enjeux des réformes onusiennes, notamment le repositionnement du Département de l’information, et la prise en compte effective du multilinguisme dans les stratégies de communication onusiennes.
 

 

7670 apprenants étaient réunis depuis le 4 février 2019 sur la plateforme numérique de l’[initiative Objectif 2030->http://www.objectif2030.org], originaires de 37 Etats et gouvernements membres de l’OIF, mais aussi de pays comme l’Algérie, le Pakistan ou encore d’Allemagne. Ces participants ont suivi pendant six semaines 7 modules composés de 35 vidéos consacrées aux apprentissages théoriques et aux outils pratiques nécessaires au montage de projets de développement.
 

Le représentant permanent adjoint de l’OIF, David Bongard, a ouvert l'évènement par un discours dans lequel il a salué l’importance d’avoir un débat d’idées où le français est mis en valeur. En reconnaissant le lien inextricable entre les deux continents, il a souligné le rôle de l’Union européenne en tant que premier partenaire de l’Afrique tant en matière d’investissement que de commerce et d’aide au développement.
 

 

Ce projet, officiellement lancé à Madagascar en novembre dernier, lors du XVIe Sommet de la Francophonie, s’inscrit dans le cadre du programme de l’OIF de promotion de l’entrepreneuriat chez les femmes et les jeunes en Afrique subsaharienne francophone ; plus particulièrement dans son volet concernant le renforcement de l’environnement entrepreneurial. L’OIF et le RNF agiront en partenariat dans la mise en place de cellules nationales dans quatre pays (Burkina Faso, Cameroun, Madagascar et Sénégal) en s’appuyant sur les organismes nationaux de normalisation.