Le positionnement stratégique de l’OIF ainsi que sa valeur ajoutée dans le contexte des grands défis actuels (changement climatique, menace sécuritaire ou crise migratoire) ont notamment été évoqués, ainsi que la nécessité d'y répondre par le biais du développement.

Elle a rappelé aux 98 professeurs rassemblés à l’Alliance française qu’en enseignant à leurs élèves la langue française, ils les préparaient aussi à « devenir les architectes de leur vie et du monde – un monde où nous sommes tous amenés à penser ensemble, à agir ensemble, à nous entraider les uns les autres ».

En présence de plus de 120 personnes à l’auditorium de la FOKAL, notamment la jeunesse haïtienne, étudiants et chercheurs, des Experts venus du Burkina-Faso, de l’Egypte et du Canada-Québec ont eu l’occasion de débattre de 17h00 à 18h30 sur plusieurs thématiques liées au domaine de l’environnement. Sous la modération de Michèle Duvivier Pierre-Louis, présidente de la FOKAL, Faouzia Abdoulhalik, Spécialiste de programme à l’IFDD, a présenté les «actions de l’IFDD et la feuille de route pour la COP21» ; Martin Yelkouni, Directeur du département Environnement de l’Université Senghor

Autour du thème « Construire la ville du vivre ensemble », les élus locaux sont réunis pour échanger sur les solutions à développer pour favoriser le vivre ensemble, encourager le dialogue des cultures et apaiser les relations entre les communautés. Alors que plus de 54% de la population mondiale vit en milieu urbain, Michaëlle Jean a souligné dans son allocution le rôle primordial des Maires pour « {dire les enjeux les plus pressants, les fossés qui se creusent, les solitudes qui se multiplient, les ressources manquantes, les services à créer, les besoins en infrastructures…} »,

Cet initiative s’inscrit dans le cadre des actions menées par l’OIF et de la dynamique voulue par la Secrétaire générale de la Francophonie en faveur de la modernisation de l’état civil des pays francophones, afin notamment de combattre le phénomène des « enfants fantômes » – ces enfants de moins de 5 ans non déclarés à la naissance et dont l’Unicef évalue le nombre à 230 millions dans le monde – pour permettre, à terme, une meilleure identification des personnes en âge de voter. Les travaux de l’atelier ont rassemblé une soixantaine de participants, parmi lesquels des représentan