À travers ce partenariat, l’OIF va accompagner les organisateurs – la société de Gestion d’événements sportifs JAPPO – pour la réussite de cet évènement. L’OIF avait déjà apporté son soutien au CISA lors des deux précédentes éditions (Sénégal et au Cap-Vert) et appuie régulièrement les activités et projets de JAPPO depuis les Jeux olympiques de Londres 2012 et notamment à l’occasion des JO de la Jeunesse de Nankin : lors de ce grand rendez-vous, une quinzaine de représentants des CNO Africains avaient été habillés grâce au concours de l’OIF et de l’Association francophone des CNO (AFCNO).

« {Je me réjouis du fait que depuis que je participe aux réunions de l’ICANN, on n’a jamais parlé autant français dans les sessions et réunions de cette instance de gouvernance de l’Internet qu’à Singapour en 2015} ».

Ont participé à cette rencontre une quarantaine de personnes provenant de 18 pays d’Afrique francophone, de la France, de l’OIF, de l’Union internationale des Télécommunications (UIT), de la Commission de l’Union économique monétaire Ouest-africaine (UEMOA) et de la Commission de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Les experts en charge du passage de la télévision de l’analogique au numérique en Afrique francophone ont exhorté leurs pays à accélérer les processus nationaux, en vue de rattraper le retard accumulé.

Au cours de leur entretien, ils ont notamment échangé sur la récente vague d’attentats terroristes dans plusieurs pays de la Francophonie, et du besoin de mobiliser la jeunesse de l’espace francophone contre ce fléau. À cet égard, la Secrétaire générale et le Maire Coderre ont entre autres discuté de la contribution que pourrait apporter la ville de Montréal dans le domaine du numérique. Le Maire a également souligné la nécessité d’engager d’avantage les villes sur la question du vivre ensemble en veillant à un équilibre entre ouverture et vigilance.

Alors que les pays du Sud doivent aujourd’hui trouver la voie d’un développement durable alliant lutte contre la pauvreté, préservation de l’environnement et prise en compte des changements climatiques, le renforcement des capacités scientifiques des pays du Sud, et en particulier de l’Afrique, reste un défi.

Dans le cadre de la [11e Conférence de Jeunes (COY11)->http://www.francophonie.org/Climat-11e-Conference-des-jeunes.html], qui s’est déroulée du 26 au 28 novembre dernier, les réseaux de jeunes francophones - dont la PIRJEF - organisent en collaboration avec l’OIF un atelier ayant pour thème : le rôle de la jeunesse francophone dans la lutte contre les changements climatiques par des actions concrètes et des partenariats internationaux. Cette table ronde sera animée par des jeunes experts francophones ayant une expertise sur les questions du climat et d’autres ayant pris part à la consulta

En 2050, plus 70% de la population mondiale vivra dans les villes. La croissance la plus forte est d’ailleurs attendue dans les villes d’Afrique et d’Asie, et en particulier dans les villes dites moyennes, c’est-à-dire les villes de 1 à 5 millions d’habitants. Le défi de la croissance verte dans ces villes est posé : comment faire de l’adaptation au changement climatique une opportunité et non une contrainte.

La première partie de ce document livre une réflexion rétrospective et prospective sur la mise en œuvre du Vade-mecum débouchant sur des pistes d’actions à privilégier pour l’avenir. La deuxième partie contient une présentation des actions les plus significatives favorables au français et au multilinguisme.

Lors de cette réunion, tenue sous la présidence de la Représentation permanente du Maroc auprès des Nations unies, des représentants de la Division pour le développement durable et du Bureau du financement du développement du Département chargé des affaires économiques et sociales des Nations unies (IUNDESA) ont présenté aux délégués des pays francophones les grandes étapes de ces deux processus, leurs principaux enjeux et les différents moments clés des négociations en cours et à venir.