Le concept d’« économie verte » s’est considérablement développé à la suite de la Conférence des Nations unies sur le développement durable (Rio+20). Se basant sur les principes du développement durable (croissance économique, développement sociétal et protection des ressources naturelles), l’économie verte vise à modifier les modèles économiques traditionnels.
 

Organisé par l’OIF, en collaboration avec le Réseau Climat & Développement et la Conférence des Organisations internationales non gouvernementales de la Francophonie, ce forum visait à permettre aux acteurs de la société civile francophone de discuter des enjeux des négociations climatiques. Fortement mobilisées, les Organisations de la société civile (OSC) en provenance de tout l’espace francophone ont saisi l’occasion de ce forum pour échanger des bonnes pratiques résultant des initiatives qu’elles développent à la base pour faire front aux changements climatiques.
 

Regroupant aujourd’hui 50% de la population mondiale et probablement 70% en 2050, les villes sont déjà responsables de 75% des émissions de CO2 et elles ne cessent de s’étendre, particulièrement dans les pays en développement et notamment en Afrique.
 

Ce document présente des recommandations générales et spécifiques dans plusieurs domaines (l’éducation, le judiciaire, l’action citoyenne, l’information, etc.). Il propose également des axes pour une stratégie globale de la Francophonie en matière de prévention de la radicalisation violente et de lutte contre le terrorisme. - [Télécharger le rapport->doc66786]
 

Ce rapport, le 7e du genre depuis 2004, rend compte et alerte des grandes tendances dans ces différents domaines au sein de l’espace francophone afin de tirer des enseignements et formuler des recommandations. Cette nouvelle édition 2016 est consacrée, de manière inédite, à une thématique spécifique, celle des mutations constitutionnelles dans l’espace francophone : la place des Constitutions dans les évolutions majeures des États, l’effet de leur mise en œuvre dans les différents domaines institutionnels et politiques, notamment à la lumière de la généralisation du pluralisme poli
 

Le 4 novembre 2014 à Gatineau, les représentants des conseils de la magistrature de France, du Gabon, d’Haïti, du Liban, du Québec et du Sénégal ont adopté les statuts du nouveau Réseau francophone des conseils de la magistrature judiciaire, le RFCMJ, en présence d’un représentant de l’OIF.
 

 

Les ateliers organisés pendant toute la durée et animés par des professionnels francophones venant de France, du Burkina Faso, de Belgique, de Roumanie et du Québec ont contribué à améliorer l’expression orale et la gestuelle des lycéens. La Directrice du Bureau régional de l’OIF pour les pays de l’Europe centrale et orientale (BRECO) qui apporte son soutien financier à l’association, a participé à l’ouverture officielle du festival le 26 octobre 2014.
 

Rassemblant une trentaine de traducteurs de la CUA, cet atelier était animé par Mme Ghislaine Tamisier, enseignante à l’Ecole supérieure d’interprétation et de traduction (ESIT) de l’Université Paris III-Sorbonne nouvelle. Cette action de formation poursuit le partenariat initié et soutenu par l’OIF depuis 2011 entre l’ESIT et le Département des conférences de la CUA pour le renforcement des capacités des traducteurs et interprètes ayant le français dans leur combinaison linguistique.
 

Cette rencontre a permis des échanges entre des représentants des Nations unies, d’organisations régionales ainsi que d’organisations internationales non gouvernementales. La Direction de la paix, de la démocratie et des droits de l’Homme de l’OIF a participé à cette réunion et a rappelé l’engagement de l’OIF dans la consolidation des dispositifs et actions visant au renforcement de la protection des défenseurs des droits de l’Homme.