Placé sous le thème « la femme entrepreneure, actrice du développement », l’évènement, organisé à Libreville, dans la commune d’Akanda, a été ponctué de formations, de partages d'expériences, de témoignages et d’expositions.
 

Placé sous le thème « la femme entrepreneure, actrice du développement », l’évènement, organisé à Libreville, dans la commune d’Akanda, a été ponctué de formations, de partages d'expériences, de témoignages et d’expositions.
 

Dans la continuité d’un travail entamé il y a plus de trois ans par les Cours suprêmes de la région du Sahel en partenariat avec l’AHJUCAF, la réunion a permis d’échanger sur le rôle spécifique de la justice dans la lutte contre le terrorisme. Les travaux ont mis en lumière les lignes directrices adoptées le 2 mars 2018, à Dakar, par les premiers présidents des Cours suprêmes judiciaires du Burkina Faso, du Mali, de la Mauritanie, du Niger, du Sénégal et du Tchad, et aujourd’hui endossées par l’ensemble des membres de l’AHJUCAF.
 

 

 

Cette rencontre a permis d’examiner les conditions du renforcement d’un leadership féminin de qualité par le biais du développement personnel, de l’autonomisation et de la responsabilisation des femmes et des jeunes filles. Les riches débats en atelier ont permis d’identifier le poids socio-historique et culturel de la marginalisation actuelle de la femme et de la jeune fille dans les positions de leadership ainsi que dans les sphères de prise de décision en Afrique.
 

Initié et porté par le directeur des éditions L’Harmattan Guinée et de l’Association Guinée Culture, M. Sansy Kaba Diakité, cet événement a débuté le 23 avril, Journée mondiale du livre et du droit d’auteur. Il a réunit professionnel.le.s, enseignant.e.s, scolaires et grand public, facilitant les échanges et les découvertes réciproques. La veille de l’ouverture, une rencontre avec les professionnels de la chaine du livre réunis à cette occasion et animée par l’OIF a permis d’échanger sur le projet des Rencontres internationales du livre en Afrique (RILAC).
 

A l’instar des César en France, des Amaa au Nigeria, des Goya en Espagne ou encore des Oscars aux Etats-Unis d’Amérique, l’ambition des Teranga est de devenir une véritable Académie.