Ce partenariat vise à mobiliser les ressources de l’OIF et de l’OFQJ en faveur de la mobilité des jeunes francophones issus des 75 États et gouvernements membres ou observateurs de la Francophonie et notamment des jeunes français et québécois, sur la base de principes partagés : _ - le soutien au développement et à la promotion de la Francophonie chez les jeunes ; _ - la valorisation de la mobilité internationale comme facteur de développement des compétences professionnelles et de l’employabilité des jeunes adultes et comme vecteur de transfert d’expertise ; _ - la consolidation des réseaux
 

Ils ont notamment fait le point sur la coopération entre l’Union africaine (UA) et l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), qui travaillent ensemble dans de nombreux domaines, et particulièrement dans le domaine de la promotion de la démocratie, de l’Etat de droit et de la paix.

Jean Ping ET Abdou Diouf (Cyril Bailleul/OIF)

 

Cette rencontre était consacrée à l’introduction des livrets 3 (Renforcement linguistique, expression écrite) et 4 (Renforcement didactique, compréhension et production écrite) qu’ils étudieront de façon autonome au cours des prochains mois. Les formateurs et les tuteurs (conseillers pédagogiques, inspecteurs, professeurs de l’ENS ou des Alliances françaises), eux-mêmes formés la semaine qui a précédé le regroupement, assuraient l’animation des groupes. Les instituteurs ont en outre reçu une initiation à l’informatique et au web 2.0 dans les Espaces numériques aménagés à l’EFACAP et à l’ENI.
 

©MDS Kinshasa

 

Les membres fondateurs du réseau (DR)

 

En présence du Ministre burundais des Relations extérieures et de la Coopération internationale, M. Pierre de Cocatrix a adressé, au nom du Secrétaire général de la Francophonie, ses encouragements aux délégués de 12 pays francophones de la région présents à cette occasion (Burundi, Cameroun, Comores, Congo, Djibouti, Gabon, Guinée équatoriale, Maurice, République démocratique du Congo, Rwanda, Seychelles et Tchad).
 

Les échanges riches et cordiaux ont porté sur les domaines d’intérêt commun, tels que le développement durable, la croissance verte, le genre, l’éducation, ou l’économie de la culture (« économie mauve »), ainsi que sur le travail mené avec le G20.
 

A l’occasion de ce grand rendez-vous biennal du livre en Afrique francophone, l’OIF appuie la participation de deux maisons d’édition : l’une québécoise, Mémoire d’encrier, l’autre malienne, Assela. L’OIF apporte également son soutien au Prix Alioune Diop qui récompense un éditeur s’étant illustré dans la qualité de sa production, tout en contribuant à renforcer les capacités éditoriales en Afrique.
 

©CAFED

 

(©OIF)