Dans la mesure où 11 des 13 États-parties au Protocole facultatif à la Convention contre la torture sont membres de l’OIF, la Francophonie et le SPT ont décidé de collaborer pour appuyer ces États dans la mise en œuvre de leurs obligations au titre dudit protocole – notamment l'établissement de mécanismes nationaux de prévention indépendants et efficaces –, ainsi que pour encourager les autres États africains à signer, ratifier ou accéder au protocole et à mettre en réseau les mécanismes nationaux de prévention existants. Cette mission est une première concrétisation d’un projet

Intitulé « {Francophonie et gouvernance mondiale : vues d'Afrique} », ce livre est un recueil des principaux textes présentés au colloque international des universitaires et acteurs culturels, économiques et politiques francophones réunis en mai 2012 à Kinshasa, dans le cadre des manifestations d'accompagnement du XIVe Sommet de la Francophonie. Les intervenant examinent les grands axes de l'action de la Francophonie (culture, langue, éducation, diplomatie), ainsi que son positionnement au regard des questions touchant à la thématique centrale du Sommet de Kinshasa : l'environnemen

Cette formation systémique est organisée par l’OIF, à travers l’Institut de l’énergie et de l’environnement de la Francophonie (IEPF) et son Bureau régional pour l’Afrique centrale et l’océan Indien (BRAC), en collaboration avec la ville de Bujumbura, la Fédération Wallonie-Bruxelles, l’École Africaine des Métiers de l’Architecture et de l’Urbanisme et ENERGIES 2050.

Le Secrétaire général et le chef du Département fédéral des Affaires étrangères ont d’abord échangé sur l’état de la coopération entre la Francophonie et la Suisse, qui a abrité le XIIIe Sommet de la Francophonie à Montreux en octobre 2010 et qui, à ce titre, préside les plus hautes instances de l’organisation jusqu’au prochain rendez-vous de Kinshasa, les 13 et 14 octobre prochains.

Didier Burkhalter et Abdou Diouf (Cyril Bailleul/OIF)

Les thèmes de cette rencontre : « la responsabilité sociétale des entreprises » (RSE) et la « responsabilité des entreprises en matière de Droits de l’Homme » (REDH).

L’Antenne de l’OIF auprès des pays d’Europe centrale et orientale (APECO), en partenariat avec l’Ambassade du Canada, la Délégation Wallonie Bruxelles, l'Alliance française de Moldavie, la Maison francophone des Savoirs de Chisinau et la maison d’édition « Cartier », a organisé ce concours de littérature dans le but de découvrir et d’encourager de jeunes talents littéraires s’exprimant et écrivant en français.

Inscrit dans le cadre du programme d'accompagnement du [XIV ^e Sommet de la Francophonie->art36849], ce festival était soutenu par l’OIF dans le cadre de ses actions visant la consolidation de la structuration des filières francophones du spectacle vivant, dans le but de favoriser l’expression de la diversité culturelle.
{{En savoir plus : [->http://www.festivaltoseka.com/intranet/index.html] }}

L’OIF a notamment présenté ses actions en faveur de l’abolition de la peine de mort, de répression et de prévention de la torture et pour les droits des femmes à 25 jeunes de 18 à 30 ans de 14 nationalités (notamment de Belgique, du Burundi, du Ghana, de la Lituanie, et de Thaïlande), puis à près de 80 professeurs de français participant à ce séminaire destiné à s’approprier les différents articles de la Déclaration universelle des droits de l’Homme.