Cette deuxième promotion de l’incubateur Libres ensemble était composée d’une trentaine de togolais et d’une vingtaine de jeunes et de femmes du Bénin, du Burkina-Faso, de la Côte d’Ivoire, du Mali, de la Mauritanie, du Niger, et du Sénégal, retenus parmi environ quatre cents candidats.
 

 

Ce séminaire va rassembler quelques 150 participants venus de plus d’une cinquantaine d’États et de gouvernement membres de la Francophonie, notamment des diplomates, des parlementaires, des membres d’Institutions nationales des droits de l’Homme ainsi que des ONG nationales et internationales. Cet événement est accueilli par l’État du Sénégal qui sera représenté au plus haut niveau.
 

Modéré par Gabriel Gresillon, correspondant à Bruxelles pour Les Echos, ce débat, ouvert au public, a réuni une audience nombreuse, composée d’officiels des Instituions européennes, de diplomates, de représentants de la société civile, de professeurs, d’étudiants, de chercheurs et de simples citoyens européens observateurs attentifs de la Construction européenne.
 

 

Cette mission avait pour principal objectif de contribuer à l’enrichissement du projet de rapport national que la République de Madagascar devra présenter devant le Groupe de travail de l’EPU du Conseil des droits de l’Homme (CDH) des Nations unies en novembre 2019. La mission avait également pour but de permettre la prise en compte de bonnes pratiques identifiées notamment lors du séminaire francophone sur l’EPU organisé par l’OIF, en juillet 2018 à Dakar (Sénégal), afin que le rapport national de Madagascar contribue à renforcer l’efficacité et la crédibilité du mécanisme dans
 

Quatorze parlementaires venus de 8 pays (Burkina Faso ; Burundi ; France ; Gabon ; Mali ; Maroc ; Roumanie ; Suisse) ont activement pris part aux travaux dans les locaux du Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme.