Au premier jour de sa mission, Fleur Pellerin a rencontré le Président du comité d’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de PyeongChang (COPJOP), Hee-Beom Lee.
 

Le premier prix a été décroché par le projet « Sortir.bf » : une application mobile en bas débit qui propose un agenda événementiel en ligne, disponible sous forme de site web, et qui répertorie tous les évènements de Ouagadougou, aussi bien culturels et festifs que professionnels et commerciaux. Il prévoit un blog d’actualités concentré sur la couverture évènementielle et le partage de contenus multimédias liés. Les services seront étendus à la production d’articles de fond, de reportages et d’entretiens.
 

En déplacement à Montréal, la Secrétaire générale de la Francophonie assiste à plusieurs temps forts : un déjeuner causerie d’ouverture, le 12 juin, sous la présidence du Premier ministre du Québec Philippe Couillard ; une table ronde de l’OIF sur le thème « Normalisation, qualité et entrepreneuriat des femmes et des jeunes : quelles stratégies pour leur intégration dans les chaînes de valeur ?
 

La qualité et la normalisation figurent parmi les obstacles qui freinent l’accès des entreprises aux marchés, entravant ainsi la transformation structurelle des économies francophones les plus fragiles. Elles sont pourtant nécessaires. Les normes par exemple, peuvent s’avérer essentielles au développement des technologies de l’information et de la communication, un secteur en forte croissance en Afrique, et potentiellement porteur de nombreux emplois.
 

La transition énergétique favorise des modes de production et de consommation plus propres et plus respectueux. Dans cette perspective, quel rôle pour les instances internationales et des États ? Quelle implication du secteur privé et de la société civile ? Quelles innovations pour accompagner l’accès à l’énergie durable au cœur des villes et territoires ? Quels risques et opportunités sous-tendus par le trilemme énergétique mondial (Sécurité énergétique, Équité énergétique, Environnement durable) ? C’est à ces questions que les participants ont tenté de répondre.
 

Introduisant cette rencontre, Adama Ouane, a dressé un état des lieux de la situation économique des pays d’Afrique francophone. Il a rappelé les réussites, mais aussi l’« {urgence} » de la croissance et du développement du continent, qui ne peuvent se faire qu’« {au prix d’énormes investissements dans les infrastructures, nécessaires pour réduire les coûts de l’énergie, du transport, pour maitriser l’explosion urbaine et permettre l’acheminement de la production agricole vers les centres de consommation, pour améliorer la santé et l’éducation} ».
 

Les travaux ont été ouverts par les allocutions de Mimoza Halimi, Directrice générale des Affaires politiques et stratégiques du Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères d’Albanie, de Rennie Yotova, Directrice du BRECO, et de Christina Vasak, Ambassadrice de France en Albanie.
 

La cérémonie d’ouverture a été présidée par Emmanuel Issoze Ngondet, Premier ministre du Gabon, dont le discours a été précédé par l’allocution introductive du Secrétaire permanent de l’OHADA, Dorothé C. Sossa.
 

Depuis 37 ans, l’OIF s’associe à la Commission internationale du théâtre francophone (CITF) composée d’experts et de représentants d’États et de gouvernements (Canada, France, Luxembourg, Québec, canton suisse du Valais, Fédération Wallonie-Bruxelles) pour soutenir des projets multilatéraux de création et de diffusion théâtrale. Au cours de l’assemblée générale, vingt projets ont été soutenus pour un montant de 200 000 euros. Fait marquant, 60% de ces projets sont portés par des femmes.
 

Une rencontre dont l’attrait ne se dément pas, au vu du nombre élevé de candidatures reçues et de la présence de plus d’une trentaine de participants, de la diversité des statuts et mandats des institutions et organisations représentées, des 24 États représentés – dont 21 membres de plein droit de l’OIF –, et des profils mêmes des participants (juristes, diplomates, formateurs, inspecteur, commissaire, député, acteurs et actrices de la coopération internationale). L’OIF a soutenu la participation de représentants de trois organisations accréditées auprès de sa Conférence des OING