Au programme, de nombreux artistes francophones dont les Maliens Amadou & Mariam, les Français de Zebda, les Congolais du Staff Benda Bilili, la Tunisienne Emel Mathlouthi, la Tchadienne Mounira Mitchala, le Capverdien Tcheka, la Québéco-haïtienne Mélissa Laveaux... L'OIF soutient ce festival dans le cadre de son programme visant la consolidation de la structuration des filières francophones du spectacle vivant, dans le but de favoriser l'expression de la diversité culturelle.

La première Conférence panafricaine sur la traduction et l’interprétation s’était tenue au bureau des Nations unies à Nairobi en février 2009 et elle s’était clôturée par la Déclaration de Gigiri qui annonçait le lancement du Projet Afrique (« African Project ») dont l’objectif est de répondre à la pénurie de traducteurs et interprètes sur le continent africain par la création de filières d’excellence de formation d’experts de la traduction et de l’interprétation.

Dans le cadre de sa politique de promotion de la langue française, de la lecture publique, des littératures francophones et, plus largement, de valorisation des cultures du Sud, aux côtés de l’édition d’Étonnants voyageurs tenue en Haïti (1er-4 février 2012), l’OIF est une nouvelle fois partenaire de l’édition Malouine du Festival (Saint-Malo : 26-28 mai 2012). Le talent des écrivains francophones et le succès de leurs œuvres à l’échelle mondiale reflètent, par leur diversité, la vivacité et la richesse de la langue française.

Les deux hommes se sont entretenus du différend frontalier qui oppose actuellement le Cambodge et la Thaïlande, pays observateur de la Francophonie. En ce qui concerne l’Organisation des Nations Unies, Monsieur Hor Namhong a ensuite évoqué la candidature de son pays à un poste de membre non permanent du Conseil de sécurité.

Mme Bachelet a présenté avec beaucoup d'enthousiasme les grandes priorités qu'elle poursuivra à la tête de cette nouvelle agence onusienne. Le Secrétaire général a réitéré l'engagement de la Francophonie en matière d'égalité des genres et d'autonomisation des femmes dans toutes les sphères de la société.

Fruit d’un dialogue avec les professionnels du livre, ces rencontres seront à la fois une immersion dans le monde numérique et un partage d’expériences respectueux des spécificités et des besoins en Afrique de l’Ouest.

La 13^e session annuelle d’AfriNIC, l’organisation chargée de la gestion du registre régional africain pour les adresses Internet par numéros, regroupe des participants de haut niveau représentant des fournisseurs de services Internet (FSI), des réseaux universitaires, des gouvernements et réseaux publics ainsi que des réseaux d'ONG, impliqués dans le développement et la consolidation de l'Internet au niveau national, régional ou international.

Au programme : des concerts, un concours de danse traditionnelle Wed-bindé, des ateliers artistiques et d'artisanat, ainsi qu'une formation en technique du spectacle. A cette occasion, l’OIF soutient la participation de 6 groupes au festival : Vodou Agbanzé (Bénin), Marhaba (Niger), Djeneba Diakité dite Djennie (Mali), Njaaya (Sénégal), Les Reines Mères (Côte d’Ivoire) et Les Tin’gas (Togo).

{{{Haïti}}} Au cours de sa visite en Haïti, Abdou Diouf s'est entretenu avec le président Michel Martelly. Les deux hommes ont passé en revue les dossiers de la coopération entre Haïti et l'OIF ainsi que les opérateurs de la Francophonie.

Michel Martelly et Abdou Diouf _ (Image in studio/OIF)

En présence du linguiste Alain Rey, qui prononcera la conférence inaugurale, universitaires et responsables de politiques linguistiques aborderont des thèmes aussi variés que les nouveaux territoires de l'écrit, les dictionnaires, l'enrichissement de la langue française, l'usage du français dans la publicité, les médias, l’univers numérique, la création contemporaine, l'argot français contemporain et ses implications sociales ou encore la langue de bois. Membre observateur du [réseau Opale->http://www.reseau-francophone-opale.org/opale_accueil.html], l’OIF so