Les RMLL sont un cycle de conférences, tables rondes et ateliers pratiques autour du logiciel libre et de ses usages, ayant pour but de fournir un lieu d’échanges entre les utilisateurs, développeurs et acteurs du logiciel libre.
 

Cet atelier a permis de valider les axes stratégiques du programme ainsi que le cadre logique d’intervention et le calendrier de travail des six premiers mois ; de transférer la méthode de développement local préconisée par l’OIF ; et d’harmoniser et échanger sur les concepts du développement local, les méthodes d’appui-accompagnement des populations.
 

Selon leur domaine d’expertise respectif, les participants ont assisté à des activités de sensibilisation et suivi des ateliers pratiques sur quatre thèmes : coopération au développement des TIC, création et gestion de micro-entreprise, droits fondamentaux des travailleurs migrants, impact des migrations sur l’environnement. Cet événement s'inscrivait également dans le cadre des initiatives de l’OIF visant à favoriser l'émergence d'un [dispositif de réseautage des jeunes francophones->art36410].
 

Entièrement reconstruit, ce nouveau portail permet un accès facilité à toutes les actualités jeunesse, actions de l’OIF et de l’ensemble de ses opérateurs, ainsi qu’un relais des initiatives des autres organisations internationales en faveur des jeunes. Il est désormais possible pour les membres de discuter et de partager des documents avec d’autres jeunes sur le forum et dans les différents groupes du Réseau jeunesse.
 

Organisée sous le haut patronage de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, cette conférence, la première du genre organisée par la communauté bancaire francophone, est dédiée à l'accompagnement et à l'environnement des PME et TPE dans les pays francophones.
 

Ce séminaire, financé par Wallonie-Bruxelles International, était précédé, le 19 septembre 2012, par la présentation du rapport annuel SIE-RDC 2012. En plus des représentants des 11 provinces de la RDC, les équipes SIE mises en place dans plusieurs pays francophones (Bénin, Cameroun, Congo-Brazzaville, Niger, République centrafricaine, RDC, Sénégal et Togo), des représentants du Burundi, du Rwanda, ainsi que de plusieurs partenaires du projet SIE (OIF, ECONOTEC, CEMAC, Wallonie-Bruxelles International, etc.) ont participé à cette rencontre.
 

Trois temps forts marquent cette conférence qui se tient à Genève du 23 au 25 juin à quelques mois du XIIIe Sommet de la Francophonie : ? La cérémonie d’ouverture introduite mercredi 23 juin par le Secrétaire général de la Francophonie, en présence du Secrétaire d’État adjoint aux Affaires étrangères de Suisse, Pierre Helg, et de la Haut-Commissaire adjoint aux droits de l’Homme des Nations unies, Kyung-wha Kang ; ? La seconde journée consacrée au bilan de la mise en œuvre de la [Déclaration de Bamako->art28393] depuis son adoption le 3 novembre 2000 (Bamako + 10).
 

Plus d’une centaine de magistrats francophones représentant 38 Cours suprêmes participent à cette concertation internationale, accueillie par la Cour suprême du Canada. Les échanges s’articulent autour de quatre ateliers : - Rapports juridictionnels entre les juridictions nationales et internationales - Les rapports entre les cours nationales - La réception du droit international par les droits nationaux - La coopération et les cours nationales : atelier au cours duquel seront présentées les actions de l’OIF dans le monde judiciaire.
 

Trop souvent, les politiques, stratégies et programmes nationaux mis en place pour gérer les ressources naturelles et faire face à des problèmes tels que le changement climatique, la désertification, la dégradation des sols et l’érosion de la biodiversité, ne tiennent compte ni du rôle différencié des femmes et des hommes, ni de l’importance de considérer les femmes comme agents de changement positif.
 

De gauche à droite : Antoine Léger, fils de Jean-Marc Léger, Monique Gagnon-Tremblay et Abdou Diouf devant la plaque d'inauguration _ (Cyril Bailleul/OIF)
Cette cérémonie a été précédée par un colloque retraçant le parcours de Jean-Marc Léger, décrit par Abdou Diouf comme un « {visionnaire} », un « {infatigable promoteur de la Francophonie} », qui a notamment œuvré à la création de l’Agence de coopération culturelle et technique (ACCT), l’actuelle OIF ; ainsi que de l’association qui allait deve